Les Crocs du Blaireau

Mes petits loukoums à la crème de marron de Madagascar,
 

Voilà maintenant presque 3 mois que j’ai été propulsée à la tête de la maison. Une maison que j’ai toujours chérie, que ce soit IRL ou IG, et dans laquelle je me suis engagée il y a de cela bientôt 3 ans.

À moins d’un mois de la fin de cette coupe, je ne peux pas être plus fière de vous quand je vois la motivation sans faille qui vous anime tous. La bataille fait rage avec notre ennemi principal : Serdaigle. Et je suis heureuse de voir que vous vous investissez tous, à la hauteur de vos moyens. Je sais que certains d’entre vous pensent qu'ils n'ont pas le droit de recevoir des félicitations parce que, contrairement à d'autres, leur participation est moindre. Et bien sachez une chose : vous êtes tous importants. Que vous fassiez simplement vivre la maison en portant fièrement ses couleurs ou en campant dans la salle de cours, vous êtes importants.

Je ne veux pas entendre qu'il y a de petits et de gros efforts. Vous apportez tous à votre manière une pierre à l'édifice qu'est notre belle maison et je veux que vous soyez fiers de vous, autant que je le suis.

Certes, je ne suis pas parfaite, j'en suis même loin. J'ai dû répéter environ 60 fois que j'étais fière de vous et fait 904289 fautes d'orthographe, mais c'est un message de dernière minute que je vous adresse. Un message que je pense à vous écrire depuis quelques jours. Un message que j'ai caché à mes chatons de chroniqueurs pour leur laisser la même surprise qu'à vous. Au fond, si vous devez retenir une seule chose dans ce que je viens de vous dire, c'est que je vous aime, que vous pourrez toujours compter sur moi et que vous êtes importants. Oui bon, ça fait trois choses. Mais j'ai jamais été bonne en math.

Poufsouffle est avant tout connue comme une maison… mélange. Une maison où ceux qui s'y trouvent n'ont pas trouvé leur place ailleurs. Qui accueille "ceux qui restent", mis de côté. Mais est-ce vraiment mal d'intégrer tout le monde ?

Cela est d'ailleurs directement mis en avant dans la chanson du Choixpeau Magique de 1995. Les paroles prononcées sont à remettre dans le contexte mais vous pouvez la voir en entier dans vos livres. Les deux vers qui nous intéressent sont ceux-ci :

La bonn' Poufsouff' prenait ceux qui restaient
Pour leur enseigner tout ce qu'ell' savait.

Vous voyez un peu où je veux en venir ? Mais ne vous inquiétez pas, continuons avec la version anglaise (car ouais l’anglais c’est toujours classe).

Good Hufflepuff, she took the rest
and taught them all she knew

Ces deux vers étrennent la maison dans… une sorte d’indifférence collective, comme la dernière qui reste. Il faut rappeler qu’on avait déjà traité des personnages très forts dans toutes les maisons. Certes, les Serdaigles n’apparaissent “que” cette année-là avec Luna Lovegood puisque Lockhart était professeur. Mais ils auront un long temps de présence via ce personnage par la suite (Luna, pas Lockhart), jusqu’à la fin de la série.

À Poufsouffle, une seule personne représentera la maison de manière significative : Cedric Diggory. Et que ceux qui ne voient pas où je veux en venir peuvent sortir leurs livres. Lors du Tournoi des Trois Sorciers, il décède et est à peine célébré alors que c'est la première victime du plan de Voldemort. Il meurt un an avant Albus Dumbledore, et se fait oublier dans l’agitation de la guerre. Il est enterré, et peu portent son deuil sauf son père.

Ce n’est donc pas un destin très glorieux, ni éblouissant, pour la figure la plus connue de la maison. Si on remonte dans le temps, on peut trouver une autre personne emblématique. J’ai nommé … Norbert Dragonneau. Pour le coup… il est beaucoup mis en avant… Mais il reste renfermé. Pas forcément puissant, ni flamboyant. Juste passionné par son travail de magizoologiste. C’est un exclu de la société, inadapté, ne respectant pas la loi. C'est un danger pour la société magique et son secret. Bref, même le plus célèbre n'est pas forcément un bon exemple à suivre.

Alors dans tout ça, où en est la maison ? Où est l'image, le modèle ? Existe-t-il ? Je vais dire… qu'il faut tout simplement mettre ces figures de côté. Et ça vaut pour Poufsouffle mais ça vaut aussi pour toutes les autres maisons. Ça vaut pour les fondateurs idolâtrés, les célébrités, et globalement tout ce qui vous diront que telle maison est comme si ou comme ça. Ces paroles seront sûrement fausses. Bien sûr, écouter peut vous aider mais ça ne doit pas tout déterminer de votre pensée.

Car la maison est au final ce que vous en faîtes. Ce que vous tirez de votre expérience, de vos apprentissages et de vos relations. De vos ambitions. Ce sont les élèves qui sont le reflet de cette philosophie. Vous êtes là ou vous devez être. Vous êtes là pour ce que vous êtes et ce que vous serez. Personne n'est parfait. Votre maison est là pour vous aider, peu importe la raison pour laquelle vous êtes dedans. Et elle est votre âme comme vous êtes la sienne.

Et c'est ce que vous rendez et renvoyez qui va forger son image. De la même manière, vous vous amusez à donner le meilleur de vous-même pour essayer de remporter le plus de points pour votre maison afin de la faire triompher et de faire triompher ses valeurs. C'est un combat de modèle, qui est d'ailleurs condamnable en lui-même vu la compétition parfois acharnée. On parle ici d'enfants.

Les fans grandissent, et l’univers se complexifie encore et toujours avec de nouvelles intrigues plus ou moins bien accueillies. Aujourd'hui, sur notre site, la maison se porte mieux grâce à l'ambiance qui a été créée. Et si vous voulez une preuve… bah je vous invite à penser à tous ceux qui nous rejoignent ou nous ont rejoint. Sans compter ceux qui reviennent… Bref, il y a un joli mélange dans notre maison avec de “plus forts caractères”. La cohésion permet d’avancer, grandir, mûrir (surtout que les premiers arrivés sur le site ont aujourd'hui bien grandi) plus rapidement.

On déconstruit l’image de la niaiserie, des bisounours, grâce à quelques personnages (je pense aux équipes de maison, et à globalement tout ceux qui “avaient un rôle" dans la maison”). Et c’est pour ça que la maison est aujourd’hui attirante dans notre école. Cela fait même partie d’un mouvement plus global dans la communauté qui a de nouveaux fans (ou des fans plus vieux) qui vont arrêter de juger la maison mais plutôt ses valeurs.

Pour conclure, je dirais que la place d’une maison n’est pas fixe et que, le recul aidant, la vision de notre maison et des autres évolue beaucoup en fonction des autres fans qu’on côtoie. Et nous verrons tous chaque maison différemment selon les phases de notre vie. Personne ne sera d’accord sur votre vision et c’est ça qui est beau et bon. Car on vit dans l’échange… Bien entendu, tout cela doit rester dans le respect.

Sur ces belles paroles, je vous souhaite une bonne journée… Love.

Ceci, mesdames et monsieur, est l’extrait d’une conversation démontrant clairement que bah… un pigeon... ah non mince, j’ai pas le droit ça... un SERDAIGLE voilà est capable d’une attaque manipulatrice personnelle envers une blairelle. Non mais on croit rêver ! Puisqu’une attaque en solitaire se heurtait à un mur infranchissable, ils ont donc aujourd’hui de toutes nouvelles techniques.

Parlons peu, parlons sérieusement. Vous l’avez sûrement lu quelque part au fond des toilettes sur une page du Chicaneur : on nous accuse de vouloir manger des oiseaux. Nous, oui. Qui l’aurait cru ? Oui, nous sommes gourmands. Certes, on aime manger beaucoup, c’est indéniable. C’est un des grands critères de Poufsouffle, mais avouez qu’on a tous une part de gourmandise.

Bon Revenons-En aux Faits. Vous êtes sûrement impatients de voir (oui, vous l’êtes) ce qui a été la discussion autour de ça, car nous sommes des gourmands intelligents et, NON, si on veut manger des oiseaux, ce n’est pas pour rien contrairement à certaines rumeurs.

NON MAIS VOUS VOYEZ ! Et après, on nous accuse de « violences » sur des personnes « innocentes ». Je me demande bien ce que la fameuse Izora (oui, ici, l’anonymisation n’existe pas, c’est mon article, vous allez faire quoi ?) est prête à dire pour sa défense. Vouloir manger du blaireau, c’est se mettre en danger et il ne faut pas s’étonner des conséquences (a). Le blaireau a des crocs.

Voilà maintenant que « Paillettes » s’y met. Nan mais vraiment, les Serdaigles brillent maintenant. Pas en haut des sabliers moi je dirais, c’est là où elle devrait aller la petite. Non, plus sérieusement voilà tout simplement DEUX Serdaigles qui se mettent à attaquer d’innocentes blairelles, et ça c’est moche. Et pas très intelligent malheureusement (a). Poursuivons un peu notre exploration de leurs vils comportements exposés au grand jour.

Une contre-attaque de maîtres(ses) s’organise donc du côté des blaireaux pour résister à ces attaquants impromptus . Pas vraiment question de se laisser faire et de se faire attraper cruellement par de vilaines serres !

Oui, c’est vrai après tout. À défaut de mettre des paillettes dans ma vie, j’aime bien les manger avec de jolis plats histoire de colorer un peu tout ça. Et c’est très goutu, je vous recommande. Ça fait comme des épices.

Nous pouvons vous proposer plein de recettes à faire avec un pigeon, vous verrez leur viande est très tendre. Avec une sauce, c’est particulièrement raffiné, je vous assure. Digne d’un bon petit repas de famille. Pour cela, comme le signale Ivy, il faut le déplumer. N'hésitez pas à nous partager des astuces pour ne pas lui faire trop mal histoire d’avoir une viande bien tendre.

Regardez ces démons. « Un regard noir » est lancé envers notre fière Ivy. Est-ce qu’on se laissera faire ? Non, évidemment.

Allez tous aux fourneaux !

L'été arrive à grand pas et avec lui mes envies de moussaka augmentent. Donc tous en cuisine, on attrape ses aubergines, sa sauce tomate et À TAAAAAAAABLE !

Ingrédients :

Pour la béchamel :

• 20 g de beurre
• 3 c. à s. de farine
• 35 cl de lait

Pour la moussaka :

• 2 aubergines
• 6 pommes de terre
• 5 tomates + 1 demie brique de coulis de tomate
• 1 oignon
• De l'huile d’olive
• 30 g de beurre
• 1 petite cuillère de cannelle
• 1 c. à s. de miel
• Du muscade
• Du poivre
• Du sel
• 500 g de boeuf haché

Préparation :

Préparation de la sauce tomate : 

Émincer les oignons et les faire blondir dans une petite casserole.

Ajouter les tomates coupées en gros dés, 2 bonnes cuillères à soupe d'huile d'olive, la cannelle et le miel pour ensuite saler et poivrer. Laisser réduire le tout 25 minutes (ou plus, jusqu'à arriver à la préparation de la viande) à feu moyen. On doit obtenir une sauce, que l'on peut homogénéiser avec du coulis de tomate tout prêt.

Préparation des aubergines :

Découper les aubergines en rondelles (sans les peler), saler généreusement, et les laisser dégorger le temps de l'étape suivante. Conseil pour faire dégorger les aubergines : dans un plat, alterner une couche de tranches d'aubergines salées et une couche de papier absorbant ou les laisser dans une passoire.

Préparation des pommes de terre : 

Eplucher et découper les pommes de terre en fines rondelles.

Disposer les rondelles de pommes de terre au fond d'un plat à gratin assez haut et huilé. Arroser les pommes de terres d'un peu (3 cuillères à soupe) de jus rendu par les tomates qui mijotent.

Passer le plat de pommes de terre sous le grill 5 à 15 minutes selon votre four, pour qu'elles dorent.

Maintenant qu'elles ont dégorgé, passer les rondelles d'aubergine à la poêle à feu assez fort pour les faire griller un peu de chaque côté.

Préparation de la viande : 

Dans un faitout, faire revenir la viande hachée au beurre à feu assez fort, saler, poivrer et retirer l'eau rendue par la viande.

Ajouter la sauce tomate-oignons et baisser le feu (très doux).

Sortir le plat de pommes de terres du four et le préchauffer le four à 200°C (thermostat 6-7).

Préparation de la béchamel : 

Dans une petite casserole sur feu doux, faire blondir les 20 g de beurre, ajouter la farine et mélanger pour obtenir un appareil homogène.

Incorporer petit à petit le lait en n'arrêtant jamais de remuer, ça peut prendre 10 bonnes minutes, on doit obtenir une sauce assez épaisse.

Saler, poivrer et râper un peu de noix de muscade (c'est fort, il faut en mettre peu).

Montage de la moussaka : 

Par dessus la couche de pommes de terre, étaler la moitié de la viande hachée avec la tomate, puis la moitié des aubergines, puis l'autre moitié de viande, puis l'autre moitié des aubergines, un filet d'huile d'olive et terminer par la béchamel.

Enfourner le tout dans le four à 200°C (thermostat 6-7) et laisser cuire 1h (la béchamel doit croustiller et être dorée).