jeudi 5 septembre 2024

Éditorial

Bonjour, chers lecteurs !

La rentrée scolaire a commencé en ce mois de septembre, et la rentrée est rude. C'est pourquoi on vous propose de vous détendre devant l'édition n°101 des Crocs du Blaireau, et on espère qu'elle vous plaira autant que la précédente.

Bonne lecture ! *-*

Gossip Hufflepuff

Cliquez sur les bouts de papier pour accéder aux preuves.

Qui est le blaireau de Poufsouffle ?

Si vous êtes un bon Poufsouffle, vous devez vous poser une question depuis très longtemps : qui est le blaireau sur notre beau blason ? Et bien il s’agit d’Abdel Marcel, blaireau de père en fils. Son histoire est riche et palpitante, laissez-moi vous la conter.

Notre jeune héros est né en 658, né de parents franco-algériens, ils ont longtemps hésité à l’appeler Abdel, Marcel ou Pedro Miguel, ils se sont finalement mis d’accord sur le prénom charismatique qu’on connait aujourd’hui. C’est un peu fantasque, mais c’est toujours mieux que s’appeler Merlin ou Benjamin. Tout jeune déjà, il a une passion pour le papier peint et les tartes aux brocolis. S’il n’a jamais percé dans le premier domaine, il entreprend un master en maîtrise du brocoli à l’âge de 5 ans. Pendant ses études, son père décède tragiquement d’un accident de Badgermobile. Il était celui qui tenait la famille soudée, sa disparition avait créé un vide infini dans le cœur d’Abdel Marcel. Lors de l’enterrement, il but plus qu’il ne fallait (l’abus d’alcool est déconseillé pour les blaireaux) et se mit à faire du Pôle Dance sur du Jul. C’était navrant, terriblement mal exécuté et si le ridicule tuait il aurait déjà sorti son calibre pour en finir avec ce jeune blaireau. Mais au lieu de ça, un miracle se produisit.

Marcelinette, la fille du célèbre Blaironard de Vinci, était hilare devant la scène. D’un ciel nuageux, le temps et le cœur d’Abdel Marcel étaient percés de doux rayons de soleil. Alors qu’il pensait être maudit, un ange, enfin une blairette, apparut devant ses yeux. Comme le dit le proverbe : « Si la chance me tourne le dos, c’est pour qu’j’la prenne en blairette ». Il reprit sa vie en main et son idylle avec Marcelinette commença. Il avait l’avantage d’être plutôt beau blaireau il est vrai, bien qu’il n’ait jamais pu poursuivre ses études en brocoli il entreprit une carrière de mannequins grâce aux bons contacts de son beau-père.

Sept ans plus tard, en 989, Blaironard reçoit une commande particulière d’une certaine Helga. Elle veut une peinture qui pourrait représenter les valeurs de la loyauté, du travail et du pole dance. Le peintre n’avait jusqu’ici jamais voulu travaillé avec Abdel Marcel, mais cette commande était comme une évidence et il pourrait ainsi le remercier de rendre sa fille heureuse. Il était devenu la nouvelle figure paternelle pour Abdel Marcel et ce geste fixerait plus que jamais leur lien.

Abdel Marcel arriva à 10 heures pétantes, si pétante qu’il en lâcha une petite caisse. Il prit sa pose la plus prestigieuse et se fit peindre par monsieur De Vinci. Le rendu était magnifique, tout le monde était époufsoufflé. Les compliments jaillirent dans tous les sens. « Magnifique », « Historique », « Fanstasmagorique », « C’est la peinture intergénérationnelle », « Seul Fernando Torres est plus beau », « J’ai besoin de chier les gars, je reviens ». Pas un seul négatif, et ce n’est sûrement pas Helga qui dira le contraire. Elle était comblée, le résultat était bien au-delà de ses attentes. Le seul inconvénient pour elle, c’est que partir avec un tel blason serait forcément un avantage dans la vie et qu’elle était pour l’égalité des chances. Mais elle prit sur elle-même et accepta la peinture, ne pouvant déshonorer un tel travail.

Suite à ce succès qui fit le tour du monde, Abdel Marcel devint une star. Il posa pour Terrier Magazine, Cosmobageran, Marie Blaire, Blairity Fair et pour le tome collector de « Tchoupi va à la plage ». Après une vie longue et riche en succès, Abdel Marcel décéda en se coinçant un popcorn dans la gorge en 1756, soit à l’âge de 26 ans. Aujourd’hui encore, les jeunes générations sont influencés par ses exploits, même sans le savoir.

Rédigé par Bepo

It's time !

Ding ! Ding ! Diing ! Voilà le premier son que l’on entend au réveil le jour de la rentrée scolaire. Ce son strident qui déchire le voile de sommeil qui embrume notre esprit puis nous plonge dans une réalité moins profitable que notre fameux rêve sur les différents muffins qui existent dans le monde. En effet, il est tel un énorme gong qui annonce l’arrivée d’une nouvelle journée, et pas des moindres, la rentrée scolaire. De celles qui marquent la fin de l’été ainsi que des cocktails et la reprise des cours.

Retourner sur les bancs de l’école n’est pas une mince affaire alors que dès le départ des vacances, nous avons profité des transats, de la mer, des cocktails et des nuits sans horaires de coucher. La reprise d’une routine scolaire semble un cruel retour à la réalité.

Néanmoins, en retournant sur les bancs de l’école, le réveil qui sonne peut donner suite à une formidable aventure où chaque goutte de connaissance dont nous abreuve l’école se transforme en coupe de garni d'âmes qui s’épanouissent dans la sagesse. Cette dernière n’est pas seulement réservée à Serdaigle mais à toutes les personnes, toutes maisons confondues, qui souhaitent élargir ses savoirs. Il faut des connaissances dans l’art culinaire pour faire de bons muffins qui puissent se vendre comme des petits pains, c’est un fait.

Il est donc temps de reprendre le chemin de l’école, prendre ses multiples escaliers, rencontrer de nouvelles personnes, transmettre un peu de gentillesse autour de soi et être dans l'entraide mutuelle.

Rédigé par Lawrence Holmes

Un marathon jaune et noir

Cet été, pendant que les Moldus étaient captivés par les Jeux Olympiques, nous, à Poufsouffle, nous nous sommes demandés : pourquoi ne pas organiser notre propre défi sportif ? Ainsi est né notre incroyable marathon !

En un rien de temps, notre fabuleuse équipe de maison a organisé ce défi colossal : un marathon ! Oui, vous avez bien lu, un véritable marathon de 42 kilomètres et les petites bananes qui vont derrière. Imaginez deux semi-marathons, c'est-à-dire deux fois 21 kilomètres (42 pour ceux qui ont du mal en maths). Vous visualisez mieux maintenant ? Parfait, alors maintenant que vous êtes bien en sueur, accrochez-vous, car les péripéties ont été nombreuses.

Le départ a été donné par ce qu’il y a de plus Poufsouffle : un cri de bison ! Dès qu’on parle de sport de toute façon, chez Poufsouffle, on parle de bison YIP YIP APPA !

Nos coureurs sont lancés et il n’y a plus de retour en arrière possible, sauf peut-être une petite pause bien méritée. En tant que journaliste dédiée, j'ai décidé de me joindre à eux pour vous offrir un reportage de première main. Croyez-moi, ce n'était pas une tâche facile !

Premier problème rencontré : la plupart des athlètes préfèrent courir en silence. Pas d'interviews possibles. Imaginez des blaireaux courant côte à côte, c'est adorable, non ? Mais rapidement, les plus rapides ont pris de l'avance, tandis que d'autres peinaient à trouver leur rythme.

Au cinquième kilomètre, nous avons atteint le premier ravitaillement. Et là, catastrophe ! Sur la table, des gâteaux au chocolat irrésistibles. Vous me croyez si je vous dis qu'ils étaient vraiment alléchants ? Bien sûr, tout le monde en a pris, et ce qui devait arriver arriva : tout le monde est tombé malade. Imaginez, au cinquième kilomètre seulement, même pas 12 % du parcours. Et sans parler maths : il leur restait un long chemin à parcourir.

Le troisième problème c’est que oui, l’équipe de maison est géniale… (oui il y a un “mais”) MAIS ils nous ont fait passer à côté du Saule Cogneur (oui vous avez bien lu), comme si on avait la force de se débattre contre ce truc alors qu’à ce moment-là, ça faisait déjà 10 kilomètres qu’on courait. Vous auriez dû voir Emma sur le côté qui nous criait “Dé-ter-mi-na-tion”. À mourir de rire. Pourtant, cette épreuve a été marquée par une grande entraide entre Poufsouffle, un bel esprit d'équipe à noter (bon, je ne l’ai pas noté parce que monsieur le Saule Cogneur me l’a volé…).

On dirait qu'ils ne voulaient pas trop nous faciliter la tâche, parce que déjà tu me dis 42 kilomètres, je suis en sueur et je te demande de répéter “Tu es sûr ? Tu ne veux pas dire 4,2 ?” Autant vous dire que quand le quatrième problème s’est présenté, c’était des yeux et pas du front que l'eau allait couler. Quatrième problème : la Forêt Interdite. C’est simple, ne m’en parlez pas, je veux oublier ces visions d’horreur. Vous auriez vu les têtes de ces créatures ! Leurs yeux ! ahhhhh ! Au secours ! Rappelez-moi pourquoi j’ai fait tout ça ? Ah oui, pour vous, chers lecteurs.
Mais finalement, mes plaintes auraient-elles été entendues ? Désormais, on nous fait passer au milieu d’un petit potager plein de citrouilles et de fleurs, que c’est migniooonnn. Des petits papillons se posent sur nous, et une bonne odeur embaume l’atmosphère.

Le cinquième problème semblait d’abord être météorologique, mais je suis sûr que vous ne seriez même pas surpris d’apprendre que ce qu’on aurait pu prendre pour de la pluie était en fait des graviers. Vous vous doutez qu’ils ne tombaient pas réellement du ciel. Non, non, à savoir si c’était l’équipe de maison qui les avait embauchés ou non, mais ce qui était sûr, c’est que devant nous, devant les coureurs, se tenaient des lutins de Cornouailles. Ma peluche en forme de lutin de Cornouailles allait finir en feu en rentrant, ça, c’était définitif.

Comme tout bon lutin de Cornouailles qui suit les descriptions du cours, ils ne manquèrent pas de nous soulever pour nous amener un peu plus loin pendant que chacun se débattait, redoutant en même temps de tomber. Au moins, ça nous a un petit peu avancé sur le chemin.

Ça y est… la fin approche, la fin de la course, la fin de cet article, mais aussi ma fin. Le sixième problème a pris la décision de m’achever : au niveau du terrain de Quidditch sur lequel on avait désormais nos pieds, des cognards nous foudroyaient, et avec mes deux pieds gauches, j'ai fini assez rapidement à l’infirmerie.

Pendant ce temps, les petits Poufsouffles rencontrèrent encore un dernier problème, mais c’était bien le dernier : le lac noir. Mais après celui-ci, c’était la fête et la joie de la victoire !
Prochaine étape, un ultra-trail, ouuuuuuuu ?

Les vacances de l'EDM

 

Quand Sibylle n'a pas eu son thé assez vite


Créer de nouvelles recettes


Quand Clairet et Ellie veulent partir en vacances


Quand la salle commune se redynamise


Quand Clairet et Ellie ne sont pas d'accord


Et que Sibylle va les transformer en Croup

C'est la rentrée !

Quel animal adopter pour la rentrée ?

Qui dit rentrée scolaire dit forcément fournitures scolaires ! Je suis sûre que vous avez déjà acheté tous les livres qu'on vous a demandé et avez déjà des robes toutes propres aux couleurs de notre maison. Est-ce que en revanche vous avez songé à aller à la Magical Menagerie ? Et si oui, qui adopter ? Voici un petit test pour vous aiguiller dans tout ça !

1. Quelle est ta manière préférée de commencer une journée ?

a) En savourant un petit-déjeuner copieux, parce que le café ne suffit pas toujours à égayer une matinée.
b) En consultant la liste de tâches avec la précision d'un auror en mission, parce que même tes chaussettes doivent être rangées selon un code.
c) En traînant dans ton pyjama avec un bon livre ou en papotant avec tes amis, car il n'y a rien de mieux que de procrastiner avec style.

2. Quel est ton endroit préféré à Poudlard ?

a) La salle commune, où tu peux te détendre en lisant un bon livre ou en te lamentant sur ta dernière note médiocre.
b) La bibliothèque, quelle question ? Un endroit calme et ressourçant qui te permet d’étudier, et surtout parce que c'est le seul endroit où il est socialement acceptable de faire des piles de livres.
c) Le terrain de Quidditch, parce que tu adores l'idée de voler derrière un vif d'or (un peu comme un chien après un bâton) ou de te rouler dans l'herbe comme un elfe de maison qui vient de récupérer une chaussette.


3. Comment réagis-tu face à un défi ?

a) Avec une analyse approfondie et un plan de secours en cas d'apocalypse (parce qu’ici rien n’est du hasard, oui oui même les catastrophes)
b) Avec une détermination de fer et une attitude d'aventurier, prêt à conquérir le monde (ouais la grosse tête, il y a un petit travail à faire dessus) ou du moins à déjouer les pièges de la salle de cours.
c) Avec une touche de nonchalance et un sourire en coin, car tu sais que les problèmes sont juste des opportunités déguisées en chaos.


4. Quel est ton sortilège préféré ?

a) Reparo, pour réparer les dégâts causés par tes expériences magiques un peu trop ambitieuses, (ralala encore l’égo).
b) Accio, pour appeler à toi tout ce qui est égaré, y compris ta dernière chaussette propre (spoiler alert : c’est l’elfe qui l’a récupérée).
c) Alohomora, pour déverrouiller les portes verrouillées, surtout celles des réfrigérateurs de la salle des professeurs (on est un poufsouffle ou on l’est pas ?)


5. Quelle est ta boisson préférée aux Trois Balais ?

a) Un verre de jus de citrouille, un petit puriste, la bièraubeurre c’est pour les aventuriers.
b) Une bonne chope de Bièreaubeurre, n’est-ce pas la meilleure façon de célébrer une victoire après tout ?
c) Un thé aux herbes, parce que tu as besoin d'un moment zen. Ahouuuuuum


6. Quel type de film ou livre préfères-tu ?

a) Une histoire calme et introspective où les personnages passent la moitié du temps à réfléchir profondément sur leur sort (le style un peu ennuyant, tu vois le style ?)
b) Une aventure pleine de suspens, avec des batailles épiques et des héros courageux (ou des anti-héros, selon ton humeur).
c) Une comédie pleine de rebondissements, où les personnages font des gaffes hilarantes et se retrouvent dans des situations absurdes (en mode Peeves le héros)


7. Comment te décrirais-tu en trois mots ?

a) Calme, réfléchi, fiable – le genre de personne qui organise son emploi du temps jusqu'à l’heure du goûter.
b) Audacieux, déterminé, actif – le genre qui ferait une course contre le temps pour prouver un point.
c) Amical, curieux, adaptable – le genre de personne qui peut s’adapter à n’importe quelle situation tout en gardant son sourire.


Majorité de A : Crapaud. Tu es le modèle de la patience et du calme, comme un crapaud qui attend tranquillement son tour dans le marais. Ce compagnon est fidèle, discret et a un sens de l’humour subtil – parfait pour quelqu’un qui sait apprécier les petites choses de la vie et qui peut rester zen même quand les potions débordent.

Majorité de B : Chouette. Courageux et déterminé, tu es comme une chouette prête à partir envoyer toutes les lettres d’admission aux nouveaux premières années. Avec elle, tu aurais un compagnon intelligent et aventurier pour t’accompagner dans tes péripéties nocturnes et tes explorations magiques. Prépare-toi pour des messages mystiques et des voyages palpitants !

Majorité de C : Chat. Curieux et sociable, tu es le genre de personne qui peut profiter d’une bonne sieste ensoleillée ou d’une discussion animée avec des amis. Le chat est ton âme sœur animale : indépendant mais affectueux, il ajoutera une touche de magie et de confort à ta vie quotidienne tout en te laissant ton indépendance.


 

 

Tenue de rentrée : L'Évolution (ou Pas) du Style des Sorciers

Alala la rentrée ! Sacré période de l’année, autant pour les parents que pour les enfants… Probablement le seul moment de l'année où tous les élèves (ou presque) sont motivés pour les cours. Les élèves retournent à leurs études, les bras chargés de livres, de plumes et de parchemins. Mais leurs tenues alors, ça dit quoi ? Si chez les Moldus, la mode évolue à une vitesse vertigineuse, qu'en est-il chez nous, les sorciers ? Spoiler alerte : pas grand-chose. Je vous propose de plonger dans l'univers fascinant (et parfois hilarant) de la mode sorcière ! Peut-être que vous en tirerez quelque chose pour vos tenues de rentrée.

1. Les Robes de Sorcier : Une mode Hors du temps

Depuis des siècles, les robes de sorcier sont notre tenue de choix. Confortables, pratiques, et surtout polyvalentes, elles n'ont pas changé d'un poil (de mandragore). En même temps si les moldus portaient des robes, vous inquiétez pas qu’on n'aurait pas fini d’entendre parler des hommes de chez eux… Alors que les filles moldus passent de la jupe mini à la jupe midi, nous restons fidèles à nos longues robes noires. Après tout, pourquoi changer quelque chose qui fonctionne si bien ?

2. Les Accessoires : Toujours les Mêmes

Les Moldus ont des lunettes de soleil, des sacs à main, des bijoux extravagants. Et nous ? Nous avons des baguettes, des balais, et des sacs sans fond. Et encore, est-ce que ce sont vraiment des accessoires ? C’est comme dire que tu as un stylo, un vélo et un sac à dos… Par contre l’accessoire des sorciers est indubitablement le chapeau pointu. Sont-ils toujours en vogue ? Il est vrai qu’il est superflu, on ne demande pas à chaque élève d’en porter, mais il reste néanmoins un incontournable de la garde-robe sorcière. Peu importe que les Moldus aient troqué leurs bérets pour des casquettes et leurs casquettes pour des chapeaux de paille, chez nous, le chapeau pointu règne en maître. Il faut avouer qu'il ajoute une touche de mystère (et une bonne dose de ridicule) à n'importe quelle tenue. Après bon, il vaut mieux ça que des lunettes, quand on voit celles de Cornelius Agrippa… elles n’ont absolument rien de fashion.

3. Les Tentatives de Modernité

Il y a bien eu quelques tentatives d'intégrer des éléments moldus à notre garde-robe. Qui ne se souvient pas de cette période où certains sorciers ont essayé de porter des jeans sous leurs robes ? Ou pire, des t-shirts à motifs ? Fort heureusement, ces modes passagères ont rapidement été oubliées et reléguées aux oubliettes de la mode sorcière.

4. Les Détails qui Changent Tout

Cependant, il y a quelques détails subtils qui montrent une certaine évolution. Par exemple, les boutons de robe en forme de crâne ou de chauve-souris sont très en vogue cette année. Et les chaussettes ? Oh, les chaussettes ! Les sorciers rivalisent de créativité avec des motifs toujours plus excentriques. Qui a dit que la mode sorcière n'évoluait pas ? La mode des chaussettes a d’ailleurs un nom, et non rien à voir avec les elfes : la mode Lovegood (je vous laisse faire les liens).

5. Le Style de Dumbledore : Une Inspiration Inépuisable

Enfin, rendons hommage à notre cher Dumbledore, dont le style unique continue d'inspirer des générations de sorciers. Capes aux couleurs éclatantes, chapeaux excentriques, et broches fantaisistes, il a prouvé qu'on peut être un directeur vénérable tout en ayant un sens aigu de la mode. Donc Hope, si jamais tu passes par là et que tu ne sait pas comment t’habiller pour cette rentrée, pour ton premier discours dans la grande salle, prends note !

Si la mode moldue évolue sans cesse, celle des sorciers reste fermement ancrée dans la tradition. Et pourquoi pas ? Nos robes, chapeaux pointus et autres accessoires magiques font partie de notre identité. Après tout, il y a une certaine magie à être intemporel, non ?

Alors, pour cette rentrée, enfilez votre plus belle robe de sorcier, ajustez votre chapeau pointu, achetez de belles chaussettes excentriques et brandissez fièrement votre baguette. La mode, c'est avant tout une question d'attitude !

Lectures de l'été

 

Pendant les vacances, j'ai eu l'occasion de lire beaucoup, dans des styles assez différents. Je vous laisse donc ici avec mes 3 lectures préférées. Peut-être qu'une vous donnera envie !

3. Love and Other Words - Christiana Lauren

"- Mot préféré ?
- Feutré. Le tien ?
- Plaquemine"


Résumé : Ce livre est une romance qui retrace l'histoire de Macy et Elliot. Macy, étudiante en pédiatrie, aperçoit par hasard un visage qui ne lui est pas inconnu. C'est Elliot, son meilleur ami et premier amour, avec qui elle a passé toute son enfance. Pendant qu'au fil des retrouvailles et des mois qui passent, la Mace d'aujourd'hui doutera sur sa vie actuelle et son mariage qui arrive sans tant d'envie. En parallèle, nous reviendront sur l'enfance des deux protagonistes, de leur rencontre à 13 ans, à leur 17 ans. On y découvrira alors une amitié forte, unie autour des livres.

Avis : J'ai très peu l'habitude de lire des romances parce que je trouve ça rapidement redondant, mais j'ai aimée celle-là pour l'amitié forte des deux enfants, et ce thème récurant de l'amour de la lecture qui est très bien amené.
Chapitre après chapitre, c'est comme un puzzle qui se forme, nous permettant de comprendre l'une et l'autre des époques. On est donc plongé dans deux univers très différents, n'attendant qu'un peu plus pour découvrir la suite.

Avertissement : Ce livre risque de vous donner envie d'en ouvrir d'autres, et encore d'autres. Et puis encore d'autres.
 

2. La panthère des neiges - Sylvain Tesson

"Les pentes noires des reliefs coulaient du ciel, lissées par des millions d'hivers"


Résumé : Sylvain Tesson, écrivain, accompagne Vincent Munier dans une de ses expéditions. En plein hiver, dans les plateaux du Tibet, ils sont quatre à n’avoir qu’un objectif en tête : voir la panthère des neiges. Sous les -30°C, ils pratiquent la méthode de l’affût. Rester des heures immobiles, attendre le passage du moindre animal, scruter dans les rochers les moindres signes de vie. Une pratique bien éloignée du quotidien de Tesson, mais qui laisse surtout sa place à de longues réflexions sur son mode de vie, le lien entretenu entre les humains et les animaux sauvages, et l’évolution de la société plus en général.

Avis : L’histoire de ce livre en elle-même est très belle : remplie de beauté pure, de nature, de grands espaces et de découvertes. C’est un ouvrage qui donne envie de s’attarder un petit plus sur le monde qui nous entoure, d’en observer les moindres détails. Mais l’auteur y mêle aussi ses réflexions, appuyées sur des textes philosophiques du tao et diverses œuvres occidentales. Au fil du livre, on comprend alors sa vision du monde peu ordinaire, et assez intrigante. On se laisse alors porter dans ce monde que l’on nous propose, divaguant (peut-être même trop), mais qui fait de cette lecture un très bon moment.

Avertissement : Vous sentirez peut-être un soudain besoin de partir à l'aventure dans des petits coins perdus. Sinon vous pouvez voir le documentaire au chaud sous votre couette, c'est bien aussi.
 

1. La voleuse de livres - Markus Zusak

"À une dizaine de mètres sur ma gauche se tenait la fillette, pâle, le ventre vide, transie de froid.
Ses lèvres tremblaient.
Elle avait croisé ses bras glacés.
Sur le visage de la voleuse de livres, les larmes avaient gelé."


Résumé : Allemagne nazie. La mort ne manque pas de travail, avec l'agitation crée par les humains. Pourtant, elle s'arrête un instant pour observer cette petite fille. Liesel. Par 3 fois elles se rencontrera, et par trois fois la mort s'arrêtera. Il est vrai que cette fillette sort de l'ordinaire. Sa vie sera rythmée par des livres, qui arrivés sur son chemin parfois par hasard, parfois par destin, la feront évoluer et grandir, dans un monde de violence et de guerre. Comment ? Je vous laisse la mort vous le conter...

Avis : C'est très sincèrement un des meilleurs livres que j'ai lu depuis un bout de temps. Le narrateur — une mort presque humaine, ne manquant pas de dérision - nous emporte dans un récit profondément touchant, à la fois poétique et original, sur la découverte de la lecture. Pourtant, le récit est particulièrement frustrant : l'auteur prend plaisir à jouer sur nos nerfs, dévoilant quelques éléments dont le narrateur omniscient a déjà conscience. Cela ajoute une merveilleuse note au livre. Je n'ai qu'un seul conseil : allez le lire au plus vite.

Avertissement : Pendant votre lecture, vous aurez peut-être le réflexe de vouloir faire du mal à votre livre, mouiller vos pages de larmes, ou ne jamais le terminer pour rester dans cet univers. Pourtant, gardez-le en état. Je vous assure que vous serez très content de pouvoir le prêter ensuite.

Honneur aux Poufsouffles

La rentrée de septembre est arrivée. Encore une fois.

Pour ce jeu du mois de septembre, j'aimerais revenir sur les grands noms passés et actuels de la maison Poufsouffle sur P12, qu'ils soient PJ, PNJ ou ... Certain.e.s ont changé de pseudo et/ou de compte, parfois plusieurs fois, mais cela n'enlève rien à leur parcours exceptionnel.

Il y en a beaucoup ! Que ceux et celles qui ne figurent pas dans ce jeu n'en prennent pas ombrage. Ils/Elles seront mis à l'honneur ultérieurement.
 

Grille assez facile

 

Grille difficile


La grille complétée doit être envoyée par MP à Lucy Lencio, et ce pendant tout le mois de septembre.

 

Bon amusement !
 

Rédigé par Jemima Romney

 

Lundi 5 août 2024

Éditorial

Bonjour, chers lecteurs !

Je vous propose de disposer de mouchoirs près de vous, soit pour essuyer les larmes qui coulent de votre front à cause de la chaleur, soit pour essuyer les larmes de vos yeux à cause de cette nouvelle édition n°100 des Crocs du Blaireau, forte en émotions. Et on oublie pas de secouer un peu le journal poussiéreux car il se fait vieux.

Enfin, je vous prie d'apprécier ce tout nouveau design façon mi-blaireau mi-Bridgerton !

Bonne lecture ! *-*

Gossip Hufflepuff

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Crocs de souvenirs

Pour cette 100ème édition, j'ai décidé de me taire et de laisser parler chroniqueurs.euses, lecteurs.ices et ancien chroniqueurs.euses. Ils ont tellement de belles choses à nous raconter ! Je vous conseille de vous installer avec quelques cookies et une boisson bien fraîche !
 


Eden Clarke : Comment parler des Crocs sans parler de l'équipe de bras cassés absurde mais débordante d'amour qui a foulé, et foule encore les pages du journal ? J'ai eu la joie d'être chroniqueuse en chef du journal pendant un peu plus de 3 ans. Et quelles aventures !

Il y a quelques années, à mes début de mandat de CEC, autant vous dire qu'ils m'en ont fait vivre des vertes et des pas mures. Voyez plutôt. Entre les pétages de cables majusculiques (qui ont provoqués de sérieux PTSD à Wellan) et les fins de réunions plus qu'anarchiques (excusez moi mais seulement des ... pendant 14 MINUTES), aled ! Toujours est-il que nous avons toujours former un petit cocon, une petite famille et que même si nous nous perdons de vue, ça ne changera pas ! Je garderais toujours de précieux souvenirs de nos échanges et les longues heures de rigolades qu'ils ont engendrés.

Anthéa Anderston : Difficile de résumer une expérience qui dure déjà beaucoup trop d'années pour les compter, et mes collègues ont tout dit sur l'équipe que nous sommes. Du coup je vais seulement me contenter de remercier Remi Prince, mais aussi Raymond la Tomate Toma Wellan. Sans Remi, j'aurai jamais candidaté aux Crocs et c'est avec Wellan que j'ai rédigé mon premier vrai article dans les lignes de ce journal, en duo pour nos premiers pas. Un interview des fous avec qui on est tombé à l'époque, et qui m'a permis d'apprécier de faire ce que je fais dès que possible aujourd'hui : écrire pour ce fabuleux journal.

Wellan Glenn : Il faut savoir que j'ai toujours eu un rythme d'activité sur P12 relativement tard (donc le soir/la nuit mdr), y compris pour l'écriture d'article. Donc quand j'écrivais vraiment régulièrement (au lieu de corriger comme maintenant), il était pas rare que j'écrive un article en pleine nuit parce que l'inspiration ne venait qu'à ce moment, jusqu'à meme le terminer très très tot le matin xD. Et des fois très proche de la date de parution de l'édition haha.

Et là en tant que correcteur, il m'est arrivé à quelques reprise de faire des corrections post-publications parce que .... je m'y suis un poil pris au dernier moment (et aussi parce que la flemme l'a emporté, comme je suis un trèèèèès grand procrastinateur xD).

Lea Berry : J'ai eu la chance d'être promue pour la seconde fois au rang de Chroniqueuse en cheffe, ayant toujours débuté en tant qu'illustratrice. Je suis toujours très contente d'illustrer le journal. Et je dois dire que ça a toujours été un plaisir de travailler avec une équipe au top, dans la bonne humeur et sans prise de tête, alors pour ça merci <3 Et ça me fait aussi extrêmement plaisir de savoir que le journal est lu, commenté et apprécié, autant par les Poufsouffles que par certains d'autres maisons.
Bon l'édition ne sort pas toujours à temps, mais il y en a une au moins par mois et elles sont toujours de qualité, alors un grand bravo à mes collègues *-*


Ophelia Riggs : Un souvenir chez les Crocs ? J'en ai plusieurs mais essentiellement, et je tiens à le souligner, le souvenir de se faire plaisir à écrire ou créer des articles librement sans avoir une contrainte contextuelle à propos du journal. Ecrire des histoires, créer une playlist par édition, faire des jeux, des collab'. Bien que, pas aussi long que j'aurais pensé, mon temps dans l'équipe fut un plaisir. Une équipe au top en constante évolution et une ambiance à faire jalouser les autres journaux... Si vous hésitez à franchir le pas et à les rejoindre, n'hésitez plus !


AmbrosiaLuna : Mon moment marquant concernant les Crocs. Il faut remonter au numéro 78. C'est tout simplement LE premier numéro que j'ai lu. J'en ai pris plein les yeux. Je me souviens que j'ai fais défiler tous les articles. "Waouh ! J'adore ! C'est trop beau". J'étais admirative des bannières, des affiches. J'avais l'impression d'être dans un magasin de bonbons et ne pas savoir quoi choisir. Puis je me suis décidée à lire les articles, ce qui est le but lorsque l'on ouvre un journal. Et mon émerveillement à continué.
J'aime le fond avec tous ses petits motifs. J'aime la tête de blaireau de l'entête. J'aime la diversité des articles.
Merci aux chroniqueurs des Crocs de me faire vivre autant d'émotion à chaque numéro. Vous êtes super ❤

Fiona Romney : J'ai beaucoup aimé l'article intitulé "Une histoire de musique".

J'aime beaucoup la musique et j'ai particulièrement apprécié le lien entre les mots ou les noms soulignés et la musique qui y est associée.

La seule chose (et ce n'est absolument pas une critique !!), c'est que je n'ai pas Spotify, mais j'ai pu retrouver ailleurs la musique proposée.

Bravo pour cet article ainsi que pour tout le travail que demande un journal de maison !!


Merci beaucoup à ces quelques personnes d'avoir participer à cet article! <3

La minute culturée

Anthéa : Tu crois qu'ils se souviennent de nous ?

Wellan : Ce qui est sûr, c'est que moi, je ne me souvenais pas que nos locaux étaient aussi poussiéreux ! Pourquoi j'ai accepté de revenir moi ?

Anthéa : Parce que c'est la grande cheffe qui l'a décidé pour la 100ème. Tiens, d'ailleurs, tu te rends compte ??? 100 éditions des Crocs du blaireau. On peut dire qu'on a bien mordu.

Wellan : Anthéa ? Ou ma très chère Huguette devrais-je dire ? Laisse-moi les jeux de mots, tu veux ? Tiens d’ailleurs, tu savais qu’on n’avait pas tout le temps été dans ces bureaux ?

Anthéa : Merci captain obvious, toujours aussi utile…

Wellan : Non mais avant c’était “La Gazette du Scrat”, puis “Rock' & Pouf' Mag’” en 2009. Au bout de 20 éditions, ils ont changés ça pour “ l’Echo du Blaireau”. Du coup, ça en fait des déménagements et de la décoration à refaire...

Anthéa : Pour le coup, dans les archives, ça ressemble plutôt à ce qu’on fait, avec des articles plus longs, des gossips de la maison, et des GIF. On ne change pas une recette qui gagne. Tout ça autant d'années avant, c'est impressionnant. Bon, c'est poussiéreux, mais je suis impressionnée.

Wellan : Et ça a duré combien de temps, ça ?

Anthéa : 11 éditions.

Wellan : Ah… ewh bah, on peut dire que nous, on a trouvé le meilleur des noms…

Anthéa : Doucement sur le “nous”, tu étais pas là d’abord.

Wellan : Ok… et on doit ça à qui alors ?

Anthéa : Ca, je laisserai Emma le préciser. On est culturés ici, pas historicisés. Mon petit doigt me dit... Hm, bref.

Wellan : Dans tous les cas, d'après mes sources, nos actuels Crocs du Blaireau vont fêter leurs 10 ans d'existence le 22 décembre prochain !

Anthéa : C'est quand même fou de se dire qu'on a réussi à durer autant de temps, d'autant plus que l'on n'a pas toujours fait partie des journaux de maisons avec le plus de chroniqueurs !

Wellan : C'est clair ! Je me souviens encore de périodes, peu après mes débuts dans l'équipe, où l'on a dû assurer la sortie d'une édition à seulement trois ou quatre chroniqueurs, Chroniqueuse en Chef comprise !

Anthéa : C'était d'ailleurs notre fierté à l'époque. L'équipe était toute investie et on se donnait à fond pour sortir chaque édition !

Wellan : Mais chaque période a son lot de joyeusetés et de désagréments. Certains départs de l'équipe nous obligeaient à travailler davantage, mais nous soudaient plus, tandis que d'autres périodes attiraient davantage de membre et nous permettaient de découvrir de nouveaux talents !

Anthéa : Ouais enfin, c'est un peu le cas de tous les journaux de maisons au final ...

Wellan : Excuse-moi d'être un peu chauvin sur les bords, c'est notre centième édition, j'ai envie de nous mettre en avant !

Anthéa : Mouais ok, c'est validé.

Wellan : MERCI, ma chère Huguette. Mais du coup, pour finir sur une petite touche de chiffres afin de fournir à cette minute culturée la touche culturation qu'on lui connait, je pense qu'on peut parler un peu des différents Chroniqueurs et Chroniqueuses en Chef qui ont dirigé cette belle équipe au fil du temps !

Anthéa : Tout à fait ! Depuis que notre beau journal porte ce nom, il a eu seulement 11 CeC différents !

Wellan : Et si je te dis que cette information n'est pas totalement vraie, tu réagis comment ? Hihihi

Anthéa : Hein ? Ben j'en sais rien, balance-la ta vérité

Wellan : En fait, il y a bien eu 11 changements de CeC, mais seulement 10 CeC différents puisque notre très chère Lea Berry occupait déjà ce poste en 2016, et ce pendant 6 mois !

Anthéa : Oh la petite coquine... Mais en parlant de durée de mandat, tu sais quelle Chroniqueuse en Chef est restée le plus longtemps en poste ?

Wellan : Là comme ça, je dirai bien notre chère Hopipou (aka Eden Clarke), mais peut-être que quelqu'un d'autre a fait mieux.

Anthéa : Et non, c'est bien notre chère Hopipou ! Je crois qu'avec tout ça on n'est pas trop mal en termes d'informations !

Wellan : En effet ! Ce fut un plaisir de vous retrouver, chers lecteurs, au travers de ce format, mais également de refaire équipe avec ma chère Huguette.

Anthéa : Plaisir partagé cher Raymond ! A une prochaine fois pour toujours plus de culturation !

Rendez-vous chez les Crocs-Magnons


Je prends ma plume aujourd'hui en quête de vérité et d'exactitude historique. Je pense, en route modestie, que je suis là meilleure personne pour écrire cet article, étant donné mes décennies d'ancienneté dans le journal, et mes informations précises concernant le sujet et mon avis très éclairé sur le sujet. Mes chers lecteurs, je peux donc vous assurer que vous trouverez donc à la suite un article rigoureux, objectif, pertinent, et surtout qui ira droit au but pour vous donner les informations les plus essentielles. Il ne faudrait pas s'éparpiller dans des détails inutiles !
Si vous avez déjà pu lire auparavant une chronique concernant l'histoire des Crocs, je sais qu'elle vous a laissé sur votre faim. Vous êtes-vous demandés comment l'édition des Crocs que vous tenez entre vos mains ressemblent à cela ? Ici, nous retracerons l'Histoire avec un grand H, dans ses zones d'ombres et de lumières.

25 février 2008 - 18h06. Les historiens sont formels : c'est la première trace encore visible de l'ancêtre de ce que l'on pourrait maintenant "Les Crocs du Blaireaux". Un étrange journal, certes, résultat sûrement dû à l'équipe qui le compose. Enfin... Revenons en à cette première trace, plus précisément une vidéo.
Soyons tolérant, elle est plus vieille que moi. Mais, elle nous donne un parfait aperçu de ce que devait être ce blog à cette époque très reculée.
"La Gazette de Scrat". Le titre suffit pour nous indiquer que les Poufsouffle avaient déjà de très bons goûts cinématographiques (même si, nous pouvons le dire sincèrement, la ressemblance entre le blaireau et l'écureuil est tout à fait bancale). Leurs capacités informatiques étaient également à souligner, car nous pouvons repérer des montages très qualitatif : les couleurs y sont pour beaucoup, je pense. À part cela, très peu d'informations sur le contenu exact. Y aura-t-il du monde parmi nous pour témoigner ?

Jeudi 19 février 2009 - 20h00. Le journal de Poufsouffle prend un réel tournant, en commençant par un changement de nom : le voilà devenu Rock & Pouff' Mag (Abrevié RNP) ! Oui, je suis totalement d'accord avec vous : on aurait pu s'abstenir. Vraiment. Enfin, ne désespérons pas trop longtemps sur ce nom, car nous avons désormais plus d'éléments à regarder. Accessible ici, nous pouvons analyser le contenu d'un œil plus attentif. La première chose que je remarque, c'est les personnes cités. Que des inconnus, aux pseudos tout à fait originaux. Enfin, inconnu... À une exception : un certain Lordasriel, que l'on décrivait comme quelqu'un déjà présent sur le tchat depuis longtemps. Étonnant ? Mais je remarquerais tout de même qu'elle fait honneur aux grandes qualités des blaireaux : chanter (ou du moins s'intéresser à la musique), rigoler (en espérant qu'on ai trouvé des blagues plus drôles depuis), jouer au Quidditch (et gagner, tant qu'à faire), mais surtout, dénicher des ragots ! Sur cet aspect là, ça ne manque pas de variété.
Au fil des éditions, le journal évolue, les rédacteurs et la maison aussi. Mais, pour avoir les détails les plus croustillants, je vous laisse plonger par vous-même dans ces éditions.

Fin de l'année 2010 - Début de l'année 2011. En lisant les éditions de cette période, on ressent que le journal traverse une ère mouvementée. Beaucoup de changement dans l'EdM, mais beaucoup de changements dans l'équipe également. Les CeC se succèdent, mais un changement de direction a attiré mon attention : Cachou Euphrasie, après n'être restée qu'un mois, donne le flambeau à Rebelle Euphrasie. Cette durée et proximité de nom questionne. Mais malheureusement, le peu d'informations sur ces deux personnes ne m'ont pas suffit à comprendre ce qui s'est réellement passé.
Mais là n'est pas le plus important. Car un changement encore radical attend notre journal.

1 mai 2011 - 21h46. Après quelques mois difficile, le journal reprend vie, avec une nouvelle CeC à sa tête : Roxas (qui démissionnera en réalité à l'édition suivante, et le journal sera repris par Adrian Mander pendant un an et demi. Mais parce que c'est plus classe, disons qu'il reprend vie à ce moment) . Mais, un changement encore plus important l'attend : un nouveau nom (ouf). Il s'appelle désormais "L'écho du Blaireau". Vous y trouverez peut-être un certain manque d'originalité, mais ce n'est tout de même pas si mal. Il le gardera d'ailleurs un bout de temps. Avec cela, on raconterait même qu'il a eu droit à une petite beauté... Mais je ne pourrais pas en témoigner !

16 septembre 2012 - 16h23. Abandonnant la forme de blog, le journal reste tout de même fidèle à lui-même. Et vous seriez même surpris de voir à quel point il représente encore le site aujourd'hui. Ça parle de Quidditch, ça parle de MMP12, et ça parle même de TLO ! Je tiendrai d'ailleurs à attirer votre attention sur une personne interviewée à cette occasion : Elena Petrova. J'imagine que vous vous demandez tous son lien avec l'actuel chef des aurors, qui a organisé le dernier TLO ? Eh bien, c'est la question que je me suis également posée. Mais, aucun moyen de trouver la moindre information sur la sujet, jusqu'au profil de la personne en question. Certaines coïncidences sont trop grosses pour être vraies...

Lundi 22 décembre 2014 - 19h23Nouveau CeC, et nouveau tournant. Ça y est ! Notre journal s'appelle bien désormais "Les Crocs du Blaireaux". Proche en sonorité, voilà tout de même un nom un petit peu plus attractif. Attention à ne pas vous faire mordre ...

Lundi 5 août 2024. Et voilà que notre journal à 100 bougies à souffler... Ou du moins, 100 éditions derrière lui. Il en a vu passer des choses, des belles choses, entre des rédacteurs en chef qui sont toujours dans notre équipe malgré les années passées (coucou Wellan, Léa et Eden), des équipes variées, des éditions et collaborations farfelues, mais toujours de la bonne humeur et du plaisir d'écrire.

100 mots pour les Crocs

Selon vous, qu'est-ce ce que sont les Crocs ? Qu'est-ce qu'ils représentent, ou ont représentés pour vous ? C'est la question que je suis allée poser un peu partout, parmi les chroniqueurs, les Poufsouffles, les lecteurs, les anciens chroniqueurs... Chacun m'ont donné une dizaine de mots, et je peux vous assurer que les réponses étaient très variées !

Voilà donc une liste de mots qui représentent les Crocs. Triés par récurrence, je pense qu'ils nous donnent une bonne idée de l'essence même des Crocs.


1. Equipe (en or/incroyable)
Je pense que c'est le mot parfait. Revenu près de 5 fois, il fait honneur ce qui nous permet de faire vivre notre journal : une équipe topissime, sur qui l'on peut toujours compter lorsque l'on a besoin.

2. Poufsouffle
Notre journal porte bien nos valeurs ! On y retrouve pleins de belles choses sur notre maison, alors évidemment, il est le porte parole de Poufsouffle.

3. Humour
Alors oui, on a quelques phénomènes dans l'équipe ! Je crois que le chan Discord des Crocs en est un merveilleux résumé...

4. Commentaires
Si vous passez par là, venez commenter notre journal, c'est notre plus grosse source de motivation et ça fait toujours bien plaisir !

5. Gentillesse
Très clairement une équipe de Bisounours, la gentillesse est inévitablement de mise

6. Journal
Eh bien oui, n'oublions pas que les Crocs sont avant tout un journal !

7. Plaisir
Plaisir de l'écrire, c'est sûr ! Plaisir de lire, aussi ?

8. Actualités
Vous voulez les dernières infos sur la maison ? Il n'y a qu'à demander !

9. Magnifique
Merci à nos graphistes absolument formidables qui nous permettent cela.

10. Soudés

11. Gossip
Nous ? Noooon... Bon d'accord, c'est quand même très chouette à faire, les Gossip Hufflepuff (aa)

12. Blaireau

13. Jaune
Il suffit de regarder notre nouveau fond pour en être persuadé !

14. Interview

15. Horoscope
Tatie Célia, prédisez-nous notre avenir !

16. Articles (fous!)

17. Rock
Le nom a en effet bien évolué !

18. Potins
19. Solidarité

20. Rose

Une petite aversion pour cette couleur, mais tout à fait compréhensible !

21. Chaleureux
22. Original
23. Pétillant
24. Diversifié
25. Informations
26. Lecture

27. Rush

Je ne vois pas du tout ce que vient faire ce mot ici... On finit toujours à l'heure, non ?

28. Écriture
29. Découvertes
30. Varié
31. Divertissant
32. Graphisme


33. Qualitatif
De la K-li-T, comme diraient certains

34. Convivialité
35. Bienveillance
36. Rigolade
37. Best
38. Clarté
39. Perle
40. Inventif

41. 1er avril

Les meilleures éditions !

42. Étonnant
43. Rencontre
44. Chroniqueurs
45. Empathique
46. Dynamique
47. Edito
48. Chaussures
49. Farfelu
50. Cookies
51. Taquinerie
52. Mordant
53. Drôle
54. Magique
55. Cocooning
56. Camaraderie
57. Nouveaux
58. Enchanteur
59. Roxas
60. Captivante
61. Évolution
62. Marrant
63. Vrai
64. Talent
65. Echo
66. Agréable
67. Gourmandises
68. Asile
69. Ambiance
70. Moine-Gras
71. Emotion
72. Liberté (d'écriture)
73. Souvenir
74. Éclatant
75. Croquant
76. Fun
77. Retard
78. Travailleur
79. Patience
80. Excitation
81. Collab
82. Scrat
83. Partage
84. Créativité
85. Longtemps (que je l'ai pas lu)
86. Bêtises
87. Détente
88. Lady
89. Amis
90. Apprécié
91. Slay
92. Calligraphie
93. Loyauté
94. Anciens
95. Sans prise de tête
96. Sourires
97. Rires
98. Loisirs
99. Nouveautés
100. Absurde


Et voilà ! Qu'en pensez-vous ? Auriez-vous choisi ceux-là ?
Et comme Kenia nous a sorti un très joli texte en plus, je vous laisse avec ça :


Déjà le premier mot qui me vient à l'esprit j'allais dire qu'il n'était pas très objectif mais en fait il aurait pu l'être totalement : magnifique ! C'est toujours un plaisir de l'ouvrir et de le lire, il est aussi beau dans ses mots que visuellement (après en même temps il est à l'image de la maison). Le deuxième mot qui me vient c'est évidemment la camaraderie, je trouve que c'est quelque chose qui à perpétué au travers du temps mais ça a toujours était un reflet de ce qui règne entre nos membres. Bien évidement que ce serait cette liste de mots sans farfelu, car après tout est ce que ce n'est pas ça qu'on cherche dans un journal ? Un peu de légèreté. Mademoiselle avec ses beau mots revient pour caser celui de la bienveillance, car oui on se respecte malgré l'humour parfois bien visé ahah. J'ai pas envie de me répéter mais tous ces mots sont si beau et représentent si bien ce journal... j'ai quand même envie de caser son côté chaleureux même si on l'aura sans doute compris avec mon charabia précédent. Après bon, on est des blaireaux ou on l'est pas ? On l'est donc comme nous notre beaux journal est festif !

Mais ce n’est pas tout ! Il est aussi éclatant, rempli de petites anecdotes hilarantes qui nous font sourire à chaque page. On y trouve des articles exubérants qui apportent une touche de folie douce à notre quotidien. Et que dire de son aspect enchanteur, qui sait captiver notre attention avec des histoires captivantes à n'en plus finir. Chaque numéro est une véritable pépite. Je finirais donc par un petit merci à tous ceux qui l'ont fait vivre que ce soit aujourd'hui ou par le passé ! ♡

Cher journal

Cher journal,

On peut dire que tu te fais vieux. 22 décembre 2014, on te donnait désormais le nom de "Crocs du Blaireau". Depuis, 100 éditions officielles sont passées pendant ces 116 mois - avec 8 hors séries. Une régularité de maître, tu ne trouves pas ?

Moi, dans toute cette histoire, je suis jeune tu sais. J'ai commencé à écrire dans tes lignes pour sa 48 édition. Beaucoup de choses ont changé. Mes camarades. Notre chroniqueuse-en-cheffe. Certaines choses sont restées les mêmes, comme les articles de recette, le fond qui réserve parfois des surprises, et tout un tas de choses que je laisse les curieux découvrir. Le temps passe, et tu t'embellis. Je te vois grandir de l'intérieur depuis longtemps, et j'en suis fière.

Nous avons à cœur de bien faire pour toi. Se renouveler et trouver continuellement l'inspiration n'est pas chose aisée. Pour être honnête, je ne l'ai pas toujours eue, et je ne l'ai pas toujours. Personne, à mon avis, ne peut prétendre avoir des idées chaque mois, sur une si longue période. C'est pourquoi il est nécessaire de prendre parfois du recul. Ne pas se forcer est la meilleure manière de continuer à t'apprécier. Heureusement, nous sommes toute une équipe dédiée à te faire vivre. Tu ne rajeunis pas la plupart d'entre nous, loin de là. Ceux qui te permettent d'exister te connaissent bien. La rédaction est composée de passionnés qui ne comptent pas leurs heures pour te donner vie chaque mois. Chacun apporte sa pierre à l’édifice, des journalistes aux illustrateurs, en passant par le seul et l'unique correcteur. Je le sais car j'en fais partie, et j'en vois les rouages.

Toi, "Crocs du Blaireau", tu as su créer une communauté de lecteurs fidèles. Oh pas très vaste, mais grâce à eux, chaque édition est un accomplissement que tu peux être fier de partager. Les quelques rares retours de nos lecteurs sont précieux, ils nous encouragent et nous guident pour continuer à nous améliorer. C'est pour ça que tu en es là.

Toi, "Crocs du Blaireau", tu as encore de belles années devant toi. Nous continuerons à te choyer, à te faire grandir. Parce que tu le mérites, et parce que tu es bien plus qu'un simple journal. Tu es une aventure humaine, une histoire d'amour avec nos lecteurs. Et cette histoire, nous avons à chaque fois hâte de l'écrire ensemble, édition après édition.

Un jour, comme tout à chacun, je tournerai la page pour y tracer mes derniers graphèmes. En attendant, je tiens simplement à te le dire :

Je t'aime. Merci.

A-crocs-stiche

C'est un souffle chaleureux qui pique votre nuque lorsque vous regardez les couleurs chatoyantes de la maison de Poufsouffle.

Représentant la loyauté, l’altruisme et la camaraderie, le noir et le doré s’entrelacent comme deux âmes soeurs.

L'Origine même de la maison d'Helga transcende les générations et unit ses représentants en faisant battre leur cœur d’une même pulsion.

Chaque coup de pinceau raconte une histoire de courage discret, de travail acharné et de loyauté inébranlable

Sérieux et solidarité s’appellent, se font écho, pour teinter la toile de couleurs vives et lumineuses tel qu’un chef d'œuvre naissant de leur entraille.

Distillant avec ferveur leur détermination de faire un journal exemplaire et familier, ils n’ont eu de cesse de s'accroître durant toutes ces années parcourant le château pour nous offrir le fruit de leur travail honnête avec articles et illustrations de plus en plus haut en couleurs et riches en harmonie.

Un arrière-plan magique se forme à chaque édition où de leur humble splendeur, ils sont les gardiens de l'esprit de communauté et de soutien mutuel.

Bien intelligents qu’ils sont, écrivains armés de leur plume, illustrateurs armés de leurs pinceaux, ils laissent couler tout leur talent artistique pour créer un monde où l’on s’évade l’espace d’un instant.

Laissant place à du nouveau où cette peinture murale tisse des liens dorés entre chaque lecteur et chroniqueur, le journal devient alors un pilier essentiel de la maison.

Acceptation et inclusion, valeurs phare de cette maison dont font preuve les Poufsouffles, se reflètent dans cette toile que sont les crocs, rendant fière Helga Poufsouffle dont le but était de prendre la main de chaque personne pour l’amener vers un ailleurs sain et protecteur.

Intègres, les chroniqueurs incarnent cette part de sagesse si chère à nos racines, venant puiser au plus profond de nos caractéristiques d’être humain.

Rien n’arrête ces nobles talents, tant que la connexion symbolique entre Poufsouffle et chroniqueurs ne cesse de vibrer dans nos cœurs.

En effet, cet article est une ode à ceux qui, loin des feux de la rampe, bâtissent leur grandeur par des actes quotidiens de bonté et de persévérance.

Apaisement est le maître mot de ce portrait d’ensemble qui continue de résonner comme une mélodie harmonieuse illustrant la convivialité qui caractérise les crocs

Une flèche de bonté rayonne en chacun des poufsouffles, en chacun des chroniqueurs des Crocs qui sont passés par le journal depuis ses tout débuts.

 

Et sa filleule Lawrence

 

Ôde aux Crocs

 

Petit blaireau deviendra grand
Sonne presque comme une promesse
A la fois pour toi, mes chères Crocs qui ont débuté il y a 99 éditions de cela
Mais également pour chaque chroniqueur qui a pu suivre tes pas.

Au fil des éditions, tu t'es construit
Au fil des éditions, tu t'es t'es donné une identité
Mais au fil des éditions, tu as également forgé tes chroniqueurs.

Un journal par les Poufsouffle, pour les poufsouffle
Telle est ta devise
Par les poufsouffle, puisque ce sont avant tous nos camarades qui donnent te donnent vie
Pour les Poufsouffle, puisque tes écrits et illustrations ont pour but de raisonner dans nos cœurs.

Et je ne fais pas exception à la règle
Grâce à toi, je me suis découvert des camarades et des amis
Grâce à toi, je me suis découvert dans l'écriture
Et grâce à toi j'ai grandi

De l'écriture à la gestion en passant par des phases moins actives
J'ai tout connu avec toi
Et si désormais ma plume se fait plus rare entre tes pages qu'à mes débuts
Mon cœur te suit toujours et continuera de te suivre

Certains de tes membres t'ont quitté pour partir vers d'autres horizons
Certains sont partis pour mieux te retrouver
Et d'autres sont restés.
Mais dans tous les cas, tu rassembles et unis tes membres autour des mêmes valeurs
Et tu promeus la diversité au sein de ta maison

De recettes, d'articles légers et absurdes, de jeux ou encore de réflexions
Tu représentes Poufsouffle sous toutes ses couleurs
Et tu permets à ses membres de s'exprimer librement
Pour qu'ils exploitent leur plein potentiel

Alors pour tout ce que tu as pu apporter
Pour tout ce que tu as pu m'apporter
Et pour tout ce que tu continues de produire

Merci ♥
Et Joyeuse centième édition ♥

L'âge de la classe

Quand les nouveaux chroniqueurs partent à la recherche d'informations dans les MP des anciens chroniqueurs qui n'ont jamais entendu parler d'eux.

Certains chroniqueurs quand ils réalisent depuis combien de temps ils sont dans le journal.

Quand on se dit que tout plein de cookies, c'est une bonne façon de fêter la 100ème édition.

L'équipe qui se motive pour cette édition.

Quand on se met à fouiner dans des éditions des Crocs bien anciennes.

Les Crocs une fois qu'ils ont eu un nouveau graphisme.

Quand des anciens reviennent.

Quand l'équipe se rend compte la veille de la sortie de l'édition, qu'aucun article n'est terminé.

Quand tout le monde a enfin fini ses articles et ses illustrations, et qu'on peut poster l'édition.

 

 

 

vendredi 5 juillet 2024

Éditorial

Bonjour, chers lecteurs !

On souhaite de bonnes vacances à ceux qui vont en profiter durant ce mois de juillet, et on les invite fortement à se délecter d'un délicieux cocktail autour de l'édition n°99 des Crocs. Et on souhaite également bon courage à ceux qui continuent à travailler et à étudier.

Bonne lecture ! *-*

Et les autres ? - Edition 3

 

Jamais deux sans trois non ? Ainsi nous nous retrouvons pour une troisième édition de la balade entre nos journaux !
 


Pas de nouvelle publication jusqu'en Septembre pour nos collègues de la Gazette. Un petit elfe me murmure qu'un véritable chantier est en cours dans leurs bureaux ! On a hâte de voir ce que tout cela va donner ! En attendant je vous invite à relire leur précédente édition, haute en couleurs !


Pas d'édition non plus du côté des rouge et or. Avec un effectif réduit au sein du Gryff'Time nous comprenons tout à fait le manque de publication et j'envoie tout mon courage à l'équipe, en espérant pouvoir bientôt avoir le plaisir de lire leurs articles !

Sympa ces nouvelles signatures ! Je dois avouer toutefois être un peu déçue de ne pas voir de changement drastique de design dans celles-ci.

Une édition plaisante à lire, qui regroupe un grand nombre de sujets qu'ils soient interne ou hors salle commune. Il est plaisant également de retrouver des jeux dans cette édition chose qu'on ne retrouve pas dans les éditions de chaque journal. On notera aussi de très belles illustrations qui cassent avec les bannières triangulaires qu'on a l'habitude de voir, ici plutôt accès sur des formes non définies, qui amènent un brin de fraîcheur à l'ensemble de l'édition.

Je suis peut-être un peu moins fan des bannières intermédiaires du Chicanews. Trop petites par rapport au texte ? Elles ne rendent peut-être pas assez justice aux détails de la typographie choisie.


ZOOM SUR LA VICTOIRE À TOUT PRIX, DE MARGARET DUBOIS ILLUSTRÉ PAR NATACHA TCHAÏVIEV


Natacha s'il-te-plaît change de nom de famille, je passe toujours 2min à me demander comment on écrit ton pseudo :(( Mais revenons à nos corbeaux !

Une belle leçon d'humilité que nous propose ici Margaret. La course aux trophées est le moteur de Poudlard12. Ancienne Directrice de Maison, je ne peux qu'être fière de voir que Poufsouffle a gagner de nombreux trophées trimestriels plusieurs fois d'affilées, nous permettant par la suite de remporter des coupes annuelles. Toutefois, comme le dis avec justesse Margaret ici, le plus important n'est pas de finir en tête du classement, bien que ce soit gratifiant, mais de se serrer les coudes dans l'adversité et dans les épreuves.

Les trophées ont certes été créés pour stimuler l'esprit de compétition des élèves mais également pour faire vivre les salles commune et rassembler les élèves autour d'un même but : travailler ensemble et voir les amitiés qui en découlent le long du chemin.

Comme l'as dis une grande philosophe à son arrivée dans notre maison : " C'est très... jaune vert ! " Après tout, vous m'auriez dis que la VIP était devenue orange fluo, j'aurais commencer à m'inquiéter..

Les talents artistiques des illustrateurs de la VIP ne sont plus à démontrer mais on peux toutefois féliciter la jeune Alis Osborne, nouvelle recrue fraîchement arrivée dans l'équipe, qui nous propose quatre illustrations des plus réussies !

On retrouve une nouvelle fois une édition diversifiée, alliant centres d'intérêts, vie en salle commune et promotion des valeurs de la maison. Même si certains articles sont peut-être un peu forts en terme de propos, en fouillant l'édition on trouve un histoire qui se démarque de ses camarades.


ZOOM SUR PÈRE SALAZAR, RACONTE NOUS UNE HISTOIRE, DE ALTEHIR NAGINI ILLUSTRÉ PAR CELTY ROZE


Une balade des plus détaillée dans la salle commune de Serpentard qui nous y transporterais presque. L'attention des détails apportés aux descriptions nous permet de visualiser l'ambiance qui règne dans les cachots. Le suspense augmente à chaque paragraphe jusqu'à la fin, mettant d'autant plus en lumière (et inversement) l'illustration de Celty. Toutefois maintenant je me pose quelques questions : qu'arrive-t'il finalement au héros de cette histoire ? Que font ici tous ces gens encapuchonnés ? Et qui sont cette mystérieuse femme et son serpent ? Peut-être auront nous la chance de lire une suite à cette histoire lors de la prochaine édition ?

La seule chose que j'aurais à redire sur cet article est peut-être sa forme en trois paragraphes. Je pense que le texte aurait gagné à être plus aéré, facilitant la lecture. Toutefois cela n'entache aucunement sa qualité.

Une DDM prometteuse

 

Pour vous Poufsouffle, je suis allée à la rencontre de notre nouvelle directrice de maison. Si vous ne le savez pas encore, il s'agit de Madame Divina Sibylle ! Félicitations à elle ! Je lui ai proposé une petite interview, elle a tout de suite accepté !


C'est autour d'un thé matcha qu'elle m'a gentiment proposé, que tout a commencé...

Ellie : Pourquoi avez-vous candidaté pour le poste de Directrice de maison ?

Mme Divina : Mon amour des jaunes et noirs. Cette maison m'a beaucoup donné, à présent c'est à moi de faire quelque chose pour les Poufsouffles.

Ellie : Pourquoi Poufsouffle ? Que vous apporte cette maison ?

Mme Divina : J'adore les blaireaux (aaa).
 

* Rires *


Mme Divina : Sérieusement, Poufsouffle a de très belles valeurs que j'ai toujours été fière de porter. La gentillesse, la persévérance et l'amour du travail bien fait son essentiels dans le quotidien. Chacun des Pouffys me donne envie de me dépasser.

Ellie : Si ce n'est pas indiscret, tout le monde est impatient de savoir ce que vous nous réservez. Serait-il possible que vous nous fassiez une petite avant-première ?

Mme Divina : (aaa) D'accord ! Mais ça reste entre nous. L'EDM va vous emmener en vacances à Bison Island. Attendez-vous à des surprises.

Ellie : Merci madame ! Je vais maintenant vous soumettre à un petit test.

Mme Divina : J'adore !

Ellie : Alors, dites-moi. Quel élément préférez-vous ? La terre, le feu, l'eau ou l'air ?

Mme Divina : L'eau.
 

* Ellie griffonne sur son calepin. *


Ellie : Quel endroit naturel préférez-vous ? La forêt, la mer, l'école ou la montagne ?

Mme Divina : La forêt et l'école !

Ellie : D'accord. Que préférez-vous faire de vos journées ? Passer du temps avec les créatures, faire de mauvais tours aux passants, vous entraîner à combattre les trolls ou lire ?

Mme Divina : Hmmm... J'ai le droit à plusieurs réponses, donc passer du temps avec les créatures, m'entraîner à combattre les trolls, et lire.

Ellie : Ah... Okay... D'accord, vous aimez beaucoup de choses ! Et enfin, que feriez-vous si un élève vous tape sur les nerfs ?

Mme Divina : Je le transformerais en Croup. Je plaisante bien sûr... Ou pas.

Ellie : Bonne idée le Croup ! haha. Malheureusement, il n'est pas dans mes propositions, que voici : vous lui répondez calmement tout en le punissant convenablement, vous le tapez, vous lui faites passer divers épreuves éprouvantes, ou vous le faites étudier toute la journée sans avoir le droit à une pause ?

Mme Divina : Je lui réponds calmement tout en le punissant convenablement.

Ellie : Un petit message pour les Poufsouffles ?

Mme Divina : Vous êtes fabuleux et je vous aime tous. C'est bientôt la période estivale, alors profitez, amusez-vous. Car à la rentrée, l'EDM ne va pas vous lâcher. Le Trophée sera pour Pousfouffle.

Ellie : Merci beaucoup madame, c'est adorable ! Oh, et je suppose que vous voulez connaître ce sur quoi débouche ce petit test ?

Mme Divina : Évidemment !

Ellie : Alors, voyons voir...
 

* Ellie regarde ses notes. *


Ellie : Eh bien... Chers Poufsouffles, je vous annonce que notre nouvelle directrice est autant Poufsouffle que Serdaigle avec un chouilla de Gryffondor, il va y avoir du rebondissement !


Maintenant vous savez tout sur Mme Divina Sibylle ! Si vous ne l'avez pas compris, nous avons une Directrice de maison douce, compatissante, gentille, aimante, avec une pointe de sadisme !

Avant de partir, tenez-nous vous prêt à passer des vacances inoubliable à Bison Island !

Merci Madame la Directrice d'avoir accepté cette interview !

 

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