La composition de ce quatrième numéro de l'Echo a commencé en novembre par un débat, entre les rédacteurs et moi-même : ceux-là ne considéraient alors pas leur travail comme estimé par vous, lecteurs, jugeant que seuls les articles de Coconut et moi l'étaient. Un problème dont je n'avais jusqu'alors pas conscience, et face auquel j'ai pris la décision suivante : m'impliquer le moins possible dans ce nouveau numéro. 

De ma plume, vous ne retrouverez donc que cet éditorial, et le second épisode des Chevaliers de Mélée. J'ai en effet souhaité mettre en valeur le travail des rédacteurs de l'Echo, en leur offrant davantage d'espace et de visibilité. Cela n'a pas été simple, mais l'équipe a permis de sortir à temps un numéro aussi complet que les précédents, et qui je l'espère vous plaira tout autant. Je remercie plus particulièrement Amalia et Loona - ainsi que notre incontournable Coconut ! - pour leurs efforts ; et déplore l'absence des autres rédacteurs de l'équipe. A ceux-là, je veux leur dire que je peux comprendre une absence temporaire, mais que je ne peux malheureusement pas rester indéfiniment magnanime.

L'Echo du Blaireau est l'oeuvre de blaireaux motivés, et l'un des symboles de notre maison. Aussi, posez-vous tous la question suivante : "quelle image veux-je donner à ma maison ?" ; et là, j'espère retrouver les rédacteurs motivés que j'ai perdus pour ce numéro, voire même de nouvelles recrues - car, oui, les recrutements sont permanents, et ce journal est aussi le vôtre !

Adrian Mander

Rédacteur en chef