Non, le Chocobo ne peut pas supporter Nevrosa la névrosée (mais qui le peut ?)

Le Chocobo ? Mais qui est-ce ? Eh bien, il s’agit du nouveau membre de l’équipe de la rédaction de l’Echo du Blaireau ! S’il ressemble à une sorte d’autruche jaune, sachez qu’il est très intelligent ! Et, surtout, qu’il peut dialoguer avec certaines personnes parlant son langage ! Enfin, le Chocobo court très vite, et sera mon assistant pour la gestion de ce journal ! Je suis donc parti sur l’île déserte où il vit entouré de bananiers et de chimpanzés pour l’interviewer, et voici ce que j’ai appris :

Le Chocobo peut-il voyager dans le temps ?
Eh oui ! En une minute, il peut se retrouver soixante secondes plus tard dans le futur !

Le Chocobo m’aime-t-il ?
Bien sûr ! Le Chocobo a même appris à voler les friandises dans la salle commune de Serdaigle pour nous les offrir !

Le Chocobo sait-il jouer du ukulélé ?
Évidemment ! Il sait également jongler, danser le tango et fabriquer un moulin à paroles !

Le Chocobo va-t-il me manger ?
Jamais de la vie ! Le Chocobo ne se nourrit que de chocolégumes et de parchemins de cours de Coconut !

Le Chocobo connaît-il des gros mots ?
« Choco-coco-cobooo ! » est la pire insulte du Chocobo : selon la légende, quiconque serait insulté de la sorte par le Chocobo se ferait attaquer dans la minute qui suit par un chimpanzé. Même s’il se fait insulter sur la Banquise !

Le Chocobo a-t-il écrit des romans ?
Mieux que ça : il a écrit des best-sellers ! « Chococo-cobo-Choco » est d’ailleurs reconnu par tous les grands auteurs parlant la langue du Chocobo comme la plus belle histoire d’amour de tous les temps ! Je ne résiste d’ailleurs par à l’envie de vous en montrer un extrait ci-dessous.

« Chocococobochoco-bobochocobo. Choco-Cho-Bobobo-Co-Cho. Chococochocobo ? »

Je suis tellement ému en relisant ce passage... Je suis certain que vous aussi, chers lecteurs de l’Echo du Blaireau !