mardi 5 novembre 2019

Edito

 
Bonjour à tous.
 
Nous voici de retour pour une nouvelle édition, plus petite par la taille mais certainement pas par la qualité. 
Commençons par les mauvaises nouvelles. Saskia, par manque de temps, a décidé de quitter notre belle équipe.  Merci à elle pour son travail. Ses recettes et sa bonne humeur ont apporté une fraicheur inoubliable dans les éditions. Bon vent à toi et j'espère à très vite.
Ah, novembre, drôle de mois. Assez loin de la rentrée pour que la déprime nous gagne et trop loin de noël pour que nous puissions nous réjouir... On aurait pu penser que la motivation de l'équipe allait décroitre mais non! Je tiens d'ailleurs à faire une spéciale dédicace à nos deux illustrateurs Remi et Malgus. En moins de deux jours ils ont illustré cette édition avec une maestria digne d'admiration.
 
Je voulais également profiter de cet éditorial, de cette fenêtre pour faire un gros big up à tout ceux qui ont un jour à publier une édition. On ne se rend jamais compte, tant qu'on ne s'est pas trouvé à cette place de combien un CeC peut se sentir bien seul derrière son clavier au moment d'appuyer sur la touche publier. C'est un boulot compliqué, plutôt ingrat même. Après tout, c'est la personne qui publie qui incarne le journal. Et si c'est l'équipe qui reçoit les compliments, les critiques vont au chef, au capitaine.
C'est un poste qui en a usé plus d'un. Et plus d'une fois je me suis demandée pourquoi continuer. Il me suffit alors de me souvenir des soirs de publication pour savoir. Je continue pour l'équipe et surtout, pour vous les lecteurs. Je continue à publier chaque mois pour vous donner un peu de joie. Parce que c'est sans doute, à mon petit niveau, la seule part de magie que je puisse offrir.
Merci à toute l'équipe pour cette édition.
Bonne lecture.
 



Lettre ouverte à mes anciens collègues



 

Chère équipe des Crocs,

Je vous écris cette lettre non pas pour avoir votre pardon, non pas pour réintégrer l'équipe, mais parce que P12 me manque, Poufsouffle me manque et si je veux revenir parmi vous, je dois d’abord vous dire ce que j'ai sur le cœur pour espérer arrêter de culpabiliser.

Voilà quelques mois, je vous ai abandonné sans explications. Un matin, je me suis glissée dans le bureau alors que vous étiez tous dans vos dortoirs, encore endormis et je suis partie.
Jade savait que j'étais un peu perdue. J'avais eu un manque d'inspiration lors de l'édition de juin et je n'ai pas réussi à rattraper le train en marche. Lorsque août est arrivé, nous apportant toujours plus de chaleur, mes moldus de parents ont décrété une pause montagnarde. Un objet étrange que les moldus appellent, je crois, phélétone portable et qui m'aurait permis de garder contact avec vous était à peine utilisable en raison d'un problème d’écran et de batterie. Un soir, j'ai dit à Jade que je lui donnerai ma réponse lorsque je serai revenue de mes vacances avec les marmottes.

Au total, trois semaines se sont écoulées entre mon départ et mon retour. Quelques jours après être revenue au chaud (parce oui, imaginez que j'avais un bonnet, une écharpe et un manteau lorsque j'étais avec les chamois), alors que je m’apprêtais à poster un message dans le bureau pour vous dire que j'étais toujours là, que vous pouviez compter sur moi, ma mère a fait irruption dans ma chambre. Me voyant travailler (oui, oui, ça m'arrive), elle m'a listé tout ce que j'allais faire cette année (en plus de mes articles pour notre cher journal) en me demandant comment j'allais y arriver.

À ce moment-là, j'ai réalisé que je n'aurai plus de temps pour les Crocs. J'aurais pu tout simplement, aller dans le bureau, vous faire un beau message de démission au lieu d'un message pour vous dire que je étais là. J'ai essayé. J'ai écrit et pensé plusieurs messages, mais sans en venir à bout parce que je vous aime. Parce que j'aime énormément les Crocs. Parce que ces mois, à faire partie d'une équipe constituée de personnes si belles avaient été pour moi un honneur. Parce qu'annoncer ma démission, ça voulait dire ne plus partager les rushs, les articles que l'ont écrit à deux et les articles que l'on doit écrire à deux, mais que l'on finit par écrire à quatre par manque d'inspiration. Et tout ça, je n'étais pas prête à y dire au revoir. J'avais imaginé passer de longues années au sein de ce journal. Je n'avais pas imaginé quitter ce journal, cette équipe au bout de six mois. Pour accepter de revenir une lectrice, de ne plus contribuer à ce journal, et de louper tous ces moments qui font partis de la vie d'un journal, il m'a fallu de longues semaines au cours desquelles j'ai déserté le château et lorsque j'ai accepté de voir les choses en face, j'étais bouffée par la culpabilité de vous avoir laissé tomber.

Alors voilà chers anciens collègues, je vous présente mes excuses pour vous avoir quitté si lâchement. Vous êtes vraiment des gens en or, que j'ai appris à connaître et à aimer. Merci Jade pour ta patience et ta bienveillance, merci à toi, Remi pour notre article sur GoT qui me fait encore rire lorsque je le relis et pour tes belles bannières, merci à Gus pour avoir accepté de rejoindre le journal, après des semaines où nous avions insisté pour que tu rejoignes l'équipe, merci à Marc, qui a su me montrer un visage que je n'aurais pas soupçonné lorsque tu es arrivé, merci à toi Saskia d'être venu même si j'ai eu trop peu à mon gout l'occasion de te côtoyer dans le bureau, merci aussi à Physio et à Erskine même si vous ne faites plus partie du journal, j'ai adoré bosser avec vous.
À présent, je n'ai plus qu'à aller lire les éditions que j'ai loupé et à sauter sur la prochaine qui sortira.

Avec toutes mes excuses pour avoir tardé à vous les présenter,

Elisabeth



Voici comment meurt un membre du personnel

 


La volonté d'un homme est son paradis, mais elle peut devenir son enfer.
 

Proverbe d'Islande


Il semble bizarre de parler de volonté quand notre beau site est sensé pouvoir être rangé dans la catégorie "Loisir". Mais, je voudrais lancer juste une question comme ça : Est ce que je suis la seule à avoir déjà ressenti une grosse lassitude en me connectant sur le site et en voyant la liste de chose à faire ?

Répondre aux rps, envoyer les messages nécessaires à une bonne compréhension des rp, lancer des recrutements, hurler après mon équipe qui ne bouge pas... C'est une chaîne infinie dont on ne voit pas le bout.

Alors pourquoi on accepte un poste ? Avec ma courte expérience, je peux proposer deux facteurs qui forment une explication sinon acceptable au moins partielle : la motivation et les idées.

La motivation, c'est ce qu'il faut posséder pour oser passer de l'autre côté du miroir et abandonner une confortable place d'élève pour un poste qui pourra devenir un véritable job.

Les idées sont une nécessité pour transformer un intitulé ennuyant en quelque chose de fun et d'original.

Si on va par là, on peut dire que tous les membres du personnel ne manquent ni de l'un ni de l'autre. Mais alors comment expliquer les démissions, les départs soudains, les lentes disparitions ?

Certains me répondront l'envie de changement, la réalité du marché... beaucoup de facteurs qui font de p12 une réplique en miniature d'une vie irl bien fade. Personnellement j'en ai trouvé deux : le temps et les gens.

C'est le temps qui installe le routine, émoussant par la même toute volonté de nouveauté et de changement, le membre se vautrant par l'effet des mois dans ce qu'il y a de plus dangereux pour le progrès : l'immobilisme.

Ce sont les gens, les bien-pensants comme les cassants qui, à force de commentaires, de remarques et de conseils, installent chez une personne le doute. Ce sont les gens qui par leur désintérêt ne donnent plus envie de s'investir. Ce sont les gens par leur méchanceté consciente ou inconsciente tuent la motivation.

Par ses deux facteurs vient la lassitude, puis le dégoût, et enfin le départ. Mais si c'est le temps qui amène l'idée de la démission, ce sont les gens qui poussent à partir.

Alors, la prochaine fois que vous regretterez le départ de quelqu'un, posez vous cette question : n'y êtes-vous pas pour quelque chose ?


Pourquoi voulez-vous avoir peur ?

 

Que l’on soit haut comme trois pommes, adolescent ou adulte, on a forcément connu la fête d’Halloween et l’hystérie qui la caractérise. Mais qu’en retient-on exactement ?


On retient principalement les déguisements, la chasse aux bonbons ou encore les nombreux films d’horreur que nous avons l’habitude de voir à cette période. Et nous pouvons noter un lien qui unit les trois éléments que je viens de citer, c’est la volonté de faire peur ou d’avoir peur. C’est en effet le constat général que l’on peut tirer de cette fête. Elle est très souvent placée sous le signe de la mort ou de l’épouvante, de près ou de loin.
Bon là, vous allez me dire que je ne vous apprends rien. Certes. Mais cette remarque m’a amené à la question suivante : d’où nous vient cette volonté de se faire peur ?


Fondamentalement, la peur correspond à l’émotion qui accompagne la prise de conscience d’un danger. Et loin de moi l’idée de vous faire un cours complet sur le fonctionnement du cerveau humain, (c’est quand même l’occasion de montrer que j’ai un minimum bossé mon article), mais une partie du cerveau, nommée l’amygdale, a pour but de nous faire ressentir l’état de choc qui suit la prise de conscience du danger. Ainsi, la peur et l'état de choc qui l'accompagne nous paralysent et nous font plonger hors du temps. Comme si, pendant quelques secondes, toutes notions de temps ou d’espace était bouleversée et nous donnait l’impression que nous étions dans une réalité parallèle. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’on décrit souvent les secondes qui suivent cet état de choc comme un « retour à la réalité ».


Cependant, comme je viens de le dire, l’élément déclencheur de cette peur et de cet état de choc est la présence d’un danger. Et à priori, en période d’Halloween, il n’y a pas de tel danger, ou de danger mortel en tout cas. (Et non, je ne compte pas les tentatives de vous faire peur avec un déguisement comme un danger mortel, désolé).
Nous pouvons donc raisonnablement penser que le facteur danger n’est pas celui qui influence cette tendance à vouloir s’effrayer.

Pour continuer mon analyse, je vais donc me servir d’une citation provenant d’un homme que j’ai franchement la flemme de citer (c’est pas comme si vous y faisiez attention en plus) : « La peur tient à l’imagination ».
L’imagination est, en effet, ce qui nous permet de nous évader, d’inventer de nouvelles histoires ou encore de faire perdurer et évoluer des croyances et traditions. Et c’est notamment à certaines traditions celtes que l’on doit l’ancêtre de notre fête d’Halloween. Et il y a donc 2000 ans, une fête de sept jours célébrait le passage d’un milieu de l’année à l’autre. Le 1er Novembre était le jour central de cette période de transition et durant la nuit, les légendes racontent que les esprits et les morts revenaient de l’au-delà pour vagabonder dans notre monde. Des siècles plus tard, la population se mit également à laisser un peu de nourriture à l’entrée des maison par peur de représailles (oui oui, ils avaient peur que les esprits les attaquent).

Et encore des siècles plus tard, on en arrive à la fête que l’on connaît aujourd’hui. Alors je ne sais juste pas par quel tour de passe-passe on est passé de la nourriture laissée à la porte aux bonbons, mais l’idée originale est toujours bien présente. En effet, on retrouve toujours lors de la nuit du 31 au 1er les esprits qui vagabondent, si ce n’est qu’ils ont été remplacé petit à petit par des enfants déguisés qui vont demander leurs friandises. Le retour de l’au-delà dans notre
monde est même encore plus ancré avec la sortie de films d’horreur ou d’épouvante typiques de cette période.


Donc en somme, si Halloween est issue d’une vieille tradition celtique, l’imagination collective en aura fait perdurer la mémoire au travers d’une soirée que certains qualifient de « commerciale » tandis que d’autres en profitent juste pour s’amuser et côtoyer le monde des morts l’espace d’une nuit. Et s’il n’est évidemment pas question de peur liée au danger, il est en revanche question d’une ambiance et d’une atmosphère, entretenue de génération en génération, et qui nous rapproche tous de nos peurs et de la mort pour notre plus grand plaisir. C’est d’ailleurs à cette occasion que vous pourrez vous plongez dans quelques animations sur Poudlard12 qui vous mettrons en situation. Que cela soit avec l’animation Le Couloir Maudit dans les Couloirs du château ou L'asile du docteur Kahn dans le Monde Magique. Dans les deux cas, l'au-delà est au rendez-vous !

 

Guide de l'équipe des Crocs pour un nouveau chroniqueur

@Trevor Jones, @nicepin, @Prive Revaux Icon Collection 2017 Campaign, @Pinterest DavinadaviesCyrielleWild Sarah, @Flickr tabithakat64, @brettdalton.org, @Tumblr steals-dreamsAlex Maleev, @Deviantart kaabhouse, @michel verduJackChristian Dave Gonzales

 

Halloween, c’est mieux chez les sorciers ou chez les moldus ?


@ naver, @Pinterest Lucile

 

31 Octobre 2019, Sir Nicholas de Mimsy-Porpington est exécuté. Ah non attendez, je me suis trompée de quelques centaines d’années.
On dira que mon cerveau a eu un beug, ceux qui me connaissent ne seront pas surpris. Je voulais donc dire le mot qui est sur les lèvres de tout le château ces derniers temps : Halloween !

Mais d’abord, Halloween qu’est-ce que c’est ?

Le terme Halloween est la contraction de l’expression anglaise « All Hallows Eve » (tiens tiens, comme Michael Hallows.. coïncidence ? Je ne crois pas) qui signifie « La veille de tous les saints » (rectification : coïncidence en effet, Michael Hallows, aka Physio, n'est pas un saint, c'est un cochon, et nous en avons la preuve !).
 

Ciel, je m'égare. Revenons à nos moutons. C'est une fête relativement ancienne, et attention, quand je dis ancienne, je ne parle pas de l'âge de Violette Beauchamps, c'est faux Tara, ne me regardes pas comme ça. Elle trouve son point de départ il y a environ 2500 ans, sois quelques années avant la naissance de Violette, sous le nom de la fête de Samain. Pourquoi ce nom ? Je n'en sais rien, demandez à Wikipédia. Ou quelqu'un de plus compétent que moi.
Sinon, c’était une fête Celte et Gauloise (Astérix tmtc) qui était célébrée pour accueillir la nouvelle année mais aussi les esprits des défunts. Festin abondant de sangliers pour Obélix, partage de l’hydromel et sacrifices rituels rythmaient cette fête.

AH ? On me dit dans l’oreillette que tout le monde s’en fou ? Ah, bon, et bien disons que c’était la minute historique alors.

Alors que faire un 31 Octobre ? Surement pas jeter des chats noir dans le feu. Parce qu’ils sont gentils les chats noir, croyez pas.

Côté moldu, gros programme. Si vous avez garder votre âme d’enfant vous pouvez vous joindre à la marmaille et arpenter les maisons en sonnant aux portes avec le fameux « Un bonbon ou un sort ? ». Tenue effrayante exigée. D’ailleurs, pensez à rappeler cette règle fondamentale à votre petite soeur. Car, non Kimberley, une petite fille de 6 ans habillée en Cendrillon, ça ne fais pas peur.
Vous pourrez ensuite vous goinfrer devant un film d’horreur et d’épouvante. Shinning c’est pas mal, mais si vous êtes un fragile, contentez vous de regarder Hotel Transylvanie.
A contrario, si vous vous sentez pousser des ailes, influencé par votre adolescence bouillonnante, vous pouvez toujours vous intégrer dans une soirée entre potes, tartiné de faux sang et de fausses blessures. Pour ma part, pas besoin de déguisement, donnez moi du démaquillant, ça suffira.

Côté sorcier, c’est un peu le même principe, à un petit détail près. Enfin, petit. Gros détail plutôt. La devise reste la même, « un bonbon ou un sort », le seul soucis c’est que vous récoltez principalement des sorts. Même quand on vous donne des bonbons, vous pouvez finir transformé en canari. Et je peux vous assurer que c’est pas facile de se gratter les fesses quand on est un canari. Non pas que je le fasse, je ne m’appelle pas Bepo, c’était un exemple comme un autre, voilà tout..
Le conseil de Tata Hope : Lors de votre tournée des bureaux, faites attention avec Tara Wilson et Bianca Gordon. Jaugez bien la situation, si elles sont de bonne humeur foncez, si vous sentez qu’elle sont mal lunées, faites demi tour illico presto ou vous finirez avec une retenue au sujet douteux..

Comme vous pouvez le voir, deux mondes, deux ambiances, relativement similaires mais en même temps totalement différentes. Il y a pourtant une troisième option. Celle d’une certaine Aileen. Alors faites comme elle, achetez vous un paquet de bonbon et mangez le tranquillement sous la couette !


Halloween à Poufsouffle

 

00h00 - Dans la maison Poufsouffle, tout le monde dort. Tout le monde ? Non. Tara Wilson, Hoope Moore, Bepo, Inwe Fox et Remi Prince se glissent silencieusement hors du bureau de la direction après avoir attendu autour de quelques bouteilles. Les bras chargés de sacs, ils ont un étrange sourire aux lèvres. Tout d’abord, ils commencent par décorer la Salle Commune. Ils vident du sang sur les fauteuils et le sol, disposent des crânes et des citrouilles suspendues ou sur les tables. Ils placent des éclairages oranges partout dans la pièce.
00h24 - Le buffet aussi se transforme grâce aux soins de cette fine équipe. Les bonbons sont remplacés par des dragées de Bertie Crochues au poivre, au gazon, au chou de Bruxelles, aux épinards ou encore au foie et tripes. Le reste provient de chez Zonko ou de la boutique des frères Weasley et réservait quelques surprises.
Quant au reste, mieux vaut-il y taire pour ne pas effrayer les âmes sensibles.
00h32 - Au tour des dortoirs maintenant. Toujours silencieusement, ils se glissent dans chacune des chambres. Guirlandes noires et oranges, épouvantail tenant une baguette pointait droit sur les lits. Puis ils épinglèrent divers déguisements sur les murs : zombies, fantômes ou loup-garou. Le tout était étrangement en accord et surtout effrayant.
Ca devrait leur plaire.
06h53 - Premiers réveils et premiers hurlements. Visiblement, la décoration fait son petit effet. Une première année a une crise de panique vite calmée par des sucreries et des paroles de réconforts. Les autres sortent leurs plus beaux costumes pour tenter d’effrayer ou de faire rire. Puis, seul ou en petits groupes, tout le monde part à la chasse aux bonbons dans les bureaux.
10h15 - Certains ont eu moins de chance que d’autres. Toma se balade en canard, Rachel vomit un peu partout et Clarissa a écopé d’une retenue. Jean-Baptiste a - pour une fois - fait gagner des points et Roxey est devenue riche de trente gallions et de dragées surprises qu’elle lance à Appa.
12h03 - Tout les Poufsouffles sont déjà installés pour reprendre des forces. Looedy mange la tête à l’envers. Bepo, lui, effraie tout le monde avec une course de son cru… où les participants sont couverts de sang.
16h44 - Divisés en trois groupes, les jaunes & noires sont postés devant les salles communes. Ils lancent des savons sauteurs sur le sol et des bombabouses sur les portes, puis s’enfuient à toute vitesse avant de rentrer dans la salle commune. Ayant visité tous les bureaux, ils se reposèrent/se soignèrent en vue de la suite tout en grignotant de la nourriture.
20h12 - Bataille géante de nourriture. Une seule règle : celui qui est touché par un projectile doit l’avaler. Heureusement, la plupart risquent seulement l’indigestion, car les farces ont presque toutes disparues. Alors que tout le monde s’affronte, des équipes se forment : Bryshere est mis hors-service par les efforts combinés de Shannon, Rachel et Dana. Dans une chambre, les deux préfets s’affrontent et les sucreries volent dans tous les sens. Quand la table du buffet est renversée, l’activité prend fin. Tout le monde va s’effondrer dans un fauteuil ou s'étaler sur son lit.

 

Lectures d'automne


@Instagram Olga_Valeska

Avec l'automne, on voit arriver la déprime, les feuilles mortes et le temps pourri. Rien qui donne envie de sortir de chez soi... Rien que regarder le ciel par ma fenêtre me donne le cafard. La fin de l'année donne envie de rester enfermé, de se bouiner sous un plaid à regarder une série en mangeant des chocolats. Mais, et si au lieu de donner de l'argent aux producteurs de séries, on enrichissait un peu notre esprit et notre vocabulaire avec de la lecture ? Pour ceux que ça branche, voici une petite sélection spécial blaireau de livres à lire cet automne.
 


C'est une série en trois tomes qui mélange action et humour en explorant le surnaturel d'une façon inédite. Entre magie, cape et épée, Chloé notre héroïne ne pourra compter que sur elle-même.

Le petit + Poufsouffle : Chloé l'héroine n'est pas parfaite aussi bien physiquement que mentalement. Mais elle a deux qualités appréciables : elle n'abandonne jamais et elle tient à sa famille. Une vraie blairelle dans l'âme qui en plus aime bien manger.
 


Entre ode à la différence et petit péché de gourmandise, on vit, on rit dans cette cuisine autour d'un thème cher à notre cœur, la pâtisserie. Si vous arrivez à apprécier le style d'écriture, vous allez vous régaler.

Le petit + Poufsouffle : La différence et la nourriture... J'ai vraiment besoin d'expliquer pourquoi tout Poufsouffle peut se retrouver dedans?
 


La liberté et les droits ne doivent jamais être pris pour acquis. Il n'y a pas besoin de beaucoup pour basculer dans la dictature. Voilà ce qu'illustre cette séquelle, plongeant dans les méandres de Gilead, régime autoritaire réduisant les femmes au rang de mère porteuse.

Le petit + Poufsouffle : Le style d'écriture organique ne manquera pas de rappeler à certains blaireaux quelques souvenirs.
 


Le dernier né de la série de Twisted tales, romans qui revisitent les comptes de Disney. On part cette fois au pays de la Reine de Neiges, mais dans une version où Elsa n'a aucun souvenir de sa sœur... D'ailleurs, où est Anna ?

Le petit + Poufsouffle : Un livre qui sent bon l'hiver pour nous rappeler que Noël c'est dans moins de 60 dodos.
 



Trois personnes perdues à l'approche de la fin d'année. Trois personnes prisonnières de la fatalité, du destin ou d'une vie dont elles ne veulent plus. Trois voix, celles de Jefferson, Olivia et Mason qui tissent une histoire à laquelle on peut tous s'identifier : celle d'une personne perdue.

Le petit + Poufsouffle : On a tous un jour eu besoin d'aide pour s'en sortir. Ce livre ne manquera pas de faire tilt pour tout ceux qui ont un jour répondu "non", quand on leur a demandé si ça allait.


 

Voilà, vous allez votre PAL, maintenant, je n'ai plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture.


L'enquête de Bianca



@Deviantart
 

C'est le retour d'une nouvelle enquête de Bianca, une enquête brûlante comme le couple au centre de la dite enquête. Un couple au programme, LE couple du moment à Poufsouffle, j'ai nommé Toma Dresden et Hope Moore.

Certains vont peut-être le découvrir aujourd'hui mais oui, Toma et Hope vivent une liaison torride à seulement 12 ans. Oui, les jeunes de nos jours, c'est vraiment plus ce que c'était. Mais voilà, est-ce une histoire banale ? Bien sûr que non, sinon je m'en foutrais royalement. Là nous avons deux jeunes, avec un RP des plus ... hot (ou pas du tout), ensemble à 12 ans (comme quoi, ça commence de plus en plus tôt) mais au coeur de différentes polémiques.

Car oui mesdames et messieurs, Toma et Hope sont-ils un couple solide ? La question se pose car il semblerait que ces deux jeunes gens aient ... des liaisons extraconjugales (ou juste Hope en fait). Hope et JBW, Hope et Bianca (ou serait-ce une simple amitié ?), Hope et Bepo. Hope s'arrêtera-t-elle alors qu'elle fait tomber tout le monde à ses pieds ? Qui sera sa prochaine victime ? Toma est-il vraiment si innocent ? Sombra-t-il du côté obscur de l'amour ?

Ces liaisons m'ont été confirmées par nulle autre personne que l'incroyable Remi Prince !

Bianca détective : Crois-tu à l'infidélité de Hope ? Il se murmure qu'elle aurait quelques liaisons ? Est-ce que tu as connaissance d'une infidélité du côté de Toma ?

Remi espionne de la #Reserve : J'en suis même certaine.
 

Omg, ça c'est du témoignage de malade, je sens que la suite va être PASSIONNANTE.

J'ai vu de mes yeux une conversation où Hope parlait de relooker Bepo et de lui acheter des soutiens-gorge. Caleçons pour Toma, soutien-gorge pour Bepo. Elle doit avoir une fixette sur les sous-vêtements, c'est une façon de marquer son affection je pense. Même si elle prétends que c'est platonique, elle a avoué devant jess qu'ils étaient amants aujourd'hui pour me contredire quand j'ai dis qu'ils étaient mariés (a)

Et non, Toma est blanc comme neige, c'est un amour. Il se laisse faire et c'est probablement pour ça qu'ils sont si bien ensemble. Toma est une force tranquille sur qui Hope peut se reposer, un gentil. Il aime vraiment sincèrement Hope et je l'ai jamais vu s'intéresser à personne d'autre. Sauf peut-être ... Il fait un article en duo avec Solenehab alors qu'à ma connaissance, ils ne se connaissaient pas avant d'entrer aux Crocs. Peut-être qu'entrer aux Crocs en même temps les a fait se rapprocher, mais j'ignore à quel point ...

Olala, si même Toma s'y met, on est foutu. Justement, tournons-nous vers lui et son témoignage. Car oui, je donne la parole à tout le monde même si les témoignages peuvent évidemment être déformés.

Bianca détective : As-tu une relation extraconjugale ? Hope multiplie les aventures, tu pourrais vouloir faire pareil ...

Toma, coupable 1 : Entre être tentée et être dans une vraie relation, il y a une grande différence. Et le fait qu'elle ait autant de prétendant prouve qu'elle a du succès. Je prends donc ça comme quelque chose de positif, étant donné que notre amour dure toujours.

Hum, très bien, interrogeons notre deuxième coupable pas du tout présumée innocente.

Bianca détective : Est-ce vrai que tu as de multiples liaisons extraconjugales ?

Hope, coupable 2 : Je confirme en ce qui concerne ta personne my love. Bepo c'mon amant, mais chut c'est secret. JBW, merci, c'est encore à sens unique mais je compte bien le séduire. Mais Toma c'est mon âme soeur ça c'est sur *-*

Enfin, j'ai décidé d'interroger mon dernier témoin, le pas incroyable mais très bon partenaire de raclette, le grand Bepo.

Bianca détective : Est-ce vrai qu tu as une relation amoureuse avec Hope ?

Bepo, liaison 1 : On a une relation Bepopienne et Prouetienne. C'est un mélange de Pouet et de Prout.

Euh, ok, j'ai rien compris si ce n'est que ça confirme une liaison entre Hope et Bepo. Maintenant vous me direz, et JBW dans l'histoire ? A-t-on des preuves ? Et bien oui chers lecteurs, j'en ai, j'accuse Hope de cacher son amour pour JBW ! Et le dit JBW d'être inlove de Hope.

Screen 1 (flemme de rétrécir, un lien cébien)

Screen 2 (flemme de rétrécir, un lien cébien)²

Donc, on a Hope qui manque à JBW, Hope qui veut un triangle amoureux même si à ce niveau on part sur un pentacouple (5 gens si vous aviez pas compris, j'invente un concept ou plutôt Hope invente un concept).

Mesdames et messieurs l'heure est grave. Cette histoire montre clairement la débauche de notre jeunesse. Cette histoire montre que Poufsouffle, c'était mieux avant. Cette histoire montre que la Réserve est un lieu de gossips où on y découvre la vérité, la vérité vraie. Et c'est pour ça que j'ai réalisé cette enquête, pour que la vérité éclate au grand jour.

Mesdames et messieurs, c'était votre fidèle servante (sauf JBW, rêve pas, je suis pas ta servante), enquêtrice Bianca au rapport. Peu importe l'enquête, le danger, la menace, je répondrai toujours présente pour déjouer les complots et révéler les secrets honteux de nos amis Poufsouffliens.


Harry Potter en Musique

 

Si je vous dis Harry Potter et musique, vous pensez sûrement au Hedwig's Theme, musique de la bande originale qui introduit les films de la saga. En effet, même les personnes qui ne sont pas spécialement fans de l’univers auront sûrement entendu au moins une fois cette musique.

Mais ce n’est pas le seul lien qu’on peut trouver entre la saga et le domaine musical. Que ce soit via la présence de musiciens au sein même de ce monde magique ou des dérives musicales qu’ont pu créent les livres et les films, la musique est bien plus qu’une simple histoire de bande originale. Et c’est ce que je vais essayer d’approfondir dans cet article.


Dans notre monde moldu, les musiciens sont nombreux à se faire connaître au travers de divers styles musicaux. Mais qu’en est-il du monde des sorciers ? Quelle musique écoutent-ils ? Y a-t-il des groupes connus ?
Même si cette question n’est pas la plus abordée dans la saga, et de loin, nous pouvons tout de même retenir quelques noms de musiciens. Tous ne sont pas mentionnés de manière récurrente, et certains ne sont même apparus qu’une seule fois, mais ils ont quand même le mérite d’exister.

Nous pouvons d’abord citer la chanteuse Celestina Moldubec. Elle apparaît pour la première fois dans le deuxième tome, Harry Potter et la Chambre des Secrets. Elle est connue pour sa voix très puissante. Ses concerts et tournées sont devenus très célèbres dans le monde sorcier et elle se produit souvent avec un chœur composé de spectres de la mort, des esprits qui ne sont pas ce qu’on pourrait qualifier d’esthétiques mais qui ont l’avantage d’émettre (pour ne pas dire pousser) des sons assez aigus. Son public est plutôt constitué de personnes âgées.
À l’inverse, il y a pour les plus jeunes un groupe de musique composé de huit musiciens, les Bizarr' Sisters. Ils ont animé le bal de Noël du film Harry Potter et la Coupe de Feu où on les entend interpréter leur musique Do The Hippogriff. Ce titre et deux autres (Magic Works et This Is The Night) font d’ailleurs partie de la bande originale du quatrième opus de la saga.
D’autres artistes ont été mentionnés sur d’autres supports que les livres et les films, que ce soit sur Pottermore ou même sur les jeux-vidéos Harry Potter, mais leur importance est vraiment moindre. Je ne m’y attarderai donc pas ici.

Ainsi donc, comme nous venons de le voir, les sorciers ont eux aussi leurs groupes de musique favoris. Cependant la frontière entre le monde de J.K.Rowling et le nôtre n’est pas si importante qu’on pourrait le croire, dans le domaine musical en tout cas (on reste dans le thème de l’article s’il vous plaît).

En effet, dans les années 2000, un nouveau genre musical considéré comme un sous-genre du rock est apparu : Le Wizard Rock. Les groupes de musiques appartenant à ce sous-genre s’inspirent directement de l’univers de Rowling pour raconter des histoires. Elles sont généralement racontées du point de vue de différents personnages de la saga dont chaque groupe tire son nom. Nous pouvons notamment citer Harry and the Potters, précurseur du genre, qui s’est créé en 2002. Les paroles de leurs musiques sont souvent assez simples et ironiques. C’est dans cette idée qu’un autre groupe de ce genre formé en 2005, Draco and the Malfoys, a écrit une musique dont le titre est My Dad is Rich (Mon Père est Riche). Ce n’est sûrement pas la seule chose qu’on aurait à dire sur le personnage et cette famille mais là n’est pas la question. Certains groupes ont également décidé de représenter une maison entière. C’est notamment le cas avec The Parselmouths qui écrit des musiques du point de vue des Serpentard.

Le genre s’est progressivement diversifié avec le temps si bien que certains groupes se classèrent plutôt dans les genres punk, funk, blues, techno ou encore électro. En 2008, on comptait pas moins de 400 groupes de Wizard Rock. Bon, certes, la majorité d’entre eux n’ont peut-être sorti qu’une musique qui s’est réellement fait connaître, mais ils existent. Ces groupes ont une tendance à s’auto-produire et leurs musiques sont majoritairement diffusées sur internet. Ils ne sont cependant presque jamais passés par le stade de la radio, raison pour laquelle le genre n’a pas vraiment percé.
MAIS, il a le mérite d’exister.


Vous pouvez donc voir que la saga Harry Potter et la musique se rassemblent sur bien plus que la bande originale crée pour les films. Le monde d’Harry Potter est source d’inspiration pour de nombreux artistes, peu importe l’art exercé, et ne cesse de donner de nouvelles idées malgré les années qui passent.
Et qui sait ? Vous qui lisez cet article, vous serez peut-être le précurseur d’une nouvelle idée. Il ne vous reste plus qu’à la trouver !

 

Pensez Pensines !

 

S’il existe un endroit où les souvenirs se retrouvent, ce sont les pensines. Car si on ne change rien, les choses restent telles qu’elles sont. Preuve en est les 192 pages de pensines depuis leurs dix ans d’existence. Autant d’existence qui ont laissé leur empreinte - ou pas - sur P12. Alors quoi de mieux que d’aller faire un tour dans celles de Poufsouffle actifs dans la Salle Commune ou le château ?


Bepo

On commence en beauté puisque la pensine du préfet de Poufsouffle contient un seul et unique mot… Vous devinez ? “Burp”. Soit l’expression… d’un rot. Et un Bepo qui rote c’est effrayant. Est-ce que ça mérite un quelconque autre commentaire ? Pas vraiment : je pense que tout est dit dans ce simple mot. Une pensine à l’image du personnage, tout simplement. Pensez à ne pas vous y rendre lors d'Halloween sous peine de mort prématuré si vous ne voulez pas mourir de peur.

Hope Moore

Ici, davantage de contenu. Une bannière colorée pour le titre, une belle police, un compteur de visite affichant plus de 500. On commence tout en douceur avec la présentation des informations principales, la famille (avec un arbre généalogique et des photos !), une histoire avec même quelques scènes. Ensuite, on passe à ses dédicaces puis quelques avatars tout aussi colorés. En bref, une pensine aux petits oignons qu’on ne peut que valider. Et enfin un endroit bien au chaud pour se cacher après s'être remis du passage chez Bepo.

Saskia Yselda

La première chose que l’on voit en plongeant dans la pensine sont les cadeaux que Saskia a reçu de différentes personnes. On voit une fille à l’image de la maison, douce et loyale. On a aussi le droit à quelques informations IRL sur ce qu’elle est derrière l’écran. On enchaîne avec l’histoire racontée par scènes vécues par son personnage, son bison de quidditch Gaufre. Pour clore, les avatars et les dédicaces remplies d’amour. La pensine est ensoleillée, les avatars sont nombreux et tous très joli.

Clarissa Nebulosa

Cette fois, peu de contenu aussi pour Clarissa. Sa pensine est apparemment en construction depuis un moment. On retrouve cependant une dédicace pour Alysone Petrova, sa mentor et la liste de ses petits camarades de la promotion calmar géant. Mais rien qui ne permet pour l’instant de connaître le phénomène.

Roxey

Une simple galerie toute en simplicité, une pensine affichant aussi “en construction”. Il semblerait que ce soit une épidémie propagée chez les Poufsouffles. À noter qu’il faut faire attention à la mémoire de la jeune fille : en effet un de ses avatars est “de quelqu'un mais [elle] ne [s]e souviens plus qui.” On dirait que la vieillesse rend les choses difficiles.

Guideone Gold

Une pensine dans des tons assez sombre pour l’exilé de ce groupe. Le personnage aussi est assez mystérieux, car seules les informations principales sont données rapidement. L’histoire du personnage se centre surtout sur sa famille avant sa venue et sa naissance. On a aussi la galerie assez peu fournie et le bon de réduction gagné lors de la rentrée du Poudlard Express qui se retrouve donc perdu au fond.

Sineah Ascott

Tout en douceur, Sineah a prit le parti de résumer son histoire et de remercier avec le cœur les pédouziens de sa connaissance. Et elle en parle tout en simplicité. Ensuite, c’est sa galerie d’image. Et encore une fois, ça respire la timidité et la douceur puisque c’est une petite fille blonde aux grands yeux bleus qui la représente. Ses traits sont adorables et absolument craquants. Ensuite, c’est à sa passion pour le quidditch qu’est dédié la fin de sa pensine.

Clémentine Smith

Une pensine plus que fournie centrée sur le personnage. On découvre surtout son histoire familiale assez complexe, des bannières simples et lumineuses illustrent le tout. Sa collection d’avatars et de signatures est très fournie. Quant aux dédicaces, les petits smileys qui les illustrent sont dans l’état d’esprit de la maison.

Jean-Baptiste White

Encore une pensine en const… Ah, non ! Nous avons le droit à en connaître un peu plus sur le personnage. Un des plus vieux évidemment puisqu’il atteint 30 ans. Ensuite, c’est à son histoire qu’on s’intéresse de plus prêt. On voit notamment sa gérance du club de Bouffe de la salle commune, son implication dans la Team Révélation ou ses divers posts en astronomie (Assistant puis Professeur) ou aux trois-balais et ses titres de Poufsouffle de la Coupe.



Pour ce petit tour d'horizon, on a le droit à beaucoup de variétés et à quelques détails parfois drôles ou au contraire inquiétants et qui mérite qu’on tienne à l’œil quelques personnes. On remarquera aussi le nombre de pensines en constructions assez conséquents qui doit faire que les pensines de Poufsouffle ressemblent à un vrai chantier. A penser que toutes ces niaiseries servent de paravents alors que derrière, on cache les corps.

 

Ca sent le blaireau à la biblio

@Pinterest Caroline Beslin

 

Un livre est “un document écrit formant une unité et conçu comme tel, composé de pages reliées les unes aux autres. Il a pour fonction d'être un support de l'écriture, permettant la diffusion et la conservation de textes de nature variée”. Mais avant tout, un livre raconte avant tout une histoire. Un livre raconte notre âme, car nous y mettons nos mots à l’intérieur. Même en nous montrant le plus neutre possible, nos tournures de phrases sont le reflet de nos sentiments. De nos pensées. On écrit car on en ressent le besoin. C’est dans cet état d’esprit de partage que les personnes publient certains de leurs écrits à la bibliothèque. Alors voir ça d’un peu plus prêt.


Une couverture magnifique qui donne le ton. Un résumé captivant et intriguant qui donne envie d’en savoir plus. Un nombre de mots assez conséquent (2363) qui laisse attendre du contenu. Cinq chapitres. Un livre publié en 2018… ce sont les premières choses que l’on voit en ouvrant “L’invasion” de Rayan Carter, Poufsouffle actuellement malheureusement disparu. Ce livre est placé dans les étagères Aventure, Angoisse/Horreur, Romans.

L’invasion raconte l’histoire d’un homme appelé John Peters. Celui-ci travaille dans la mythique Zone 51 quand il intercepte des ordres de missions d’attaque contre New York, la Chine, Paris et le Japon. Sauf que ce message est en provenance d'extraterrestre et que ceux-ci semblent vouloir détruire l’humanité...

L’histoire est très intéressante, le style est facile à lire - même si parfois un peu rapide ou familier. Il manque certes des descriptions, mais la force de l’histoire est là : le scénario. Il est bien ancré. On est emporté par le rythme rapide, les informations qui s'enchaînent. On ne sait pas ce qu’il faut penser, comme les personnages eux-mêmes. On sent que rien n’est là “au hasard” mais que l’histoire tient la route. Les sentiments sont difficiles à capter, mais présents. Le contrat est rempli : l’aventure et l’angoisse sont là : Est-ce qu’ils vont réussir leur mise en garde ? Est-ce qu’ils vont mourir lors de l’une des attaques ? Que va-t-il se passer ?


C’est un récit plaisant à lire et facile à comprendre. La mise en forme est cohérente avec ce qui est raconté, simple et efficace. Il est dommage que cela reste un peu factuel au niveau des personnages, car on serait davantage touché en les connaissant et les comprenant un peu mieux. Cela mérite un peu plus de pauses pour s’y intéresser pleinement et pouvoir apprécier la lecture.

Note : 7.5/10

 

Psychotest

 

Halloween est une période très attendue par la population moldue. Source de dépenses en bonbons pour les parents et source d’amusements pour les enfants, cette journée (et même cette soirée) est l’occasion rêvée pour se déguiser en monstre/méchant ou ce que vous voulez qui fasse plus ou moins peur. Grâce à la magie des films, des dessins animés et de la pop-culture qui se sont tous développés au cours des années, nous avons à notre disposition un grand panel de méchants pas beaux auxquels nous pouvons ressembler lors de cette soirée. Ce test est donc là pour savoir lequel vous correspond le mieux.


1) Quand l’heure du repas arrive, vous préférez manger :

♦ De tout, vous n’avez pas vraiment de préférence. Mais les plats saignants ne sont pas de trop.
♣ Les soupes, c’est pas consistant donc pratique à consommer. Paille ou cuillère au choix.
♠ Vous ne mangez pas, se nourrir c’est pour les faibles. Vous avez appris à survivre sans.
♥ De la pure chair humaine, rien de tel que de la bonne viande fraiche.

2) Lorsqu’on vous interroge sur quelque chose qui vous dérange :

♦ Vous riez et montrez avec beaucoup de sarcasme à votre interlocuteur que vous n’envisagez pas une seconde de répondre à sa question.
♣ Vous faites en sorte que l’espérance de vie de votre interlocuteur diminue de manière assez soudaine, peu importe le moyen employé. Vous n’aimez pas être contrarié.
♠ Vous cherchez à intimider naturellement votre interlocuteur par votre physique et votre présence. Il n’a donc plus envie de continuer à vous parler et cherche à vous fuir.
♥ Vous essayer d’embrouiller votre interlocuteur en employant de multiples procédés rhétoriques pour qu’il ne se souvienne même plus de sa question. Le jeu d’acteur est alors primordial mais vous êtes doué pour ça.

3) Votre moyen de déplacement préféré :

♦ Une bonne voiture sportive qui va vite et qui a la classe, rien de tel pour se la péter et échapper vite fait aux forces de l'ordre.
♣ Un vaisseau spatial, ça va quand même bien plus vite que ces engins terrestres.
♠ Vous volez, tout simplement. Pourquoi s’encombrer d’un quelconque véhicule ?
♥ Pas besoin de vous déplacer tout court, vous êtes toujours enfermés et sous surveillance. Mais ça ne vous empêche pas de continuer vos méfaits.

4) Votre arme de prédilection :

♦ Une énorme massue, vous aimez les armes imposantes qui font une forte impression (et avec raison).
♣ Vous êtes dans le turfu et le sabre-laser vous convient parfaitement. En plus un laser rouge c’est quand même sacrément stylé !
♠ L’objet peut paraître archaïque mais votre baguette magique peut faire énormément de mal si vous arrivez à la maîtriser.
♥ Vous faites avec ce que avez sous la main mais vous trouvez toujours quelque chose qui satisfera vous envies macabres.

5) Niveau style vestimentaire / maquillage, vous êtes plutôt :

♦ Habits très colorés et maquillage de clown à souhait ! Vous avez une identité visuelle très remarquable qui vous distingue bien des autres méchants autour de vous.
♣ Cape, plastron et bottes noires; vous êtes le maître de l’ombre. Vous avez aussi quelque chose sur la tête pour dissimuler votre laideur. Parce que, oui, faut se l’avouer, vous êtes laids.
♠ Vous n’avez qu’une cape noire qui laisse visible votre visage pas tout à fait humain et fait transparaître votre maigreur cadavérique. Mais vous n’en restez pas moins un méchant respecté, je vous assure.
♥ Vous êtes souvent en tenue de prison ou d’asile à cause des endroits où on vous garde enfermé. On a quelques photos de vous portant un masque qui cache la partie inférieure de votre visage.

 

 

Résultats :

Vous avez un maximum de :

♦ : Vous êtes Harley Quinn. Complice du Joker, votre mentor, vous avez basculé de l’autre côté du votre job de psychiatre car c’est maintenant vous qui êtes fou/folle. Vous abordez toutes les situations avec un maximum de sarcasme et aimez beaucoup la castagne.

♣ : Vous êtes Dark Vador. Le côté obscur de la force vous a envahi, vous êtes très puissant et vous dirigez un grand empire. Nombreux sont ceux qui vous craignent et vous respectent mais un certain nombre cherche également à vous détruire.

♠ : Vous êtes Voldemort. (Je détaille pour les quelques moldus qui liraient cet article). Vous êtes le mage noir le plus puissant et le plus connu de votre génération. Vous avez commis des meurtres et en avez fait commettre en votre nom à de nombreuses reprises. Vous avez également réussi à rallier certains sorcier à votre cause qui vous soutiennent.

♥ : Vous êtes Hannibal Lecter. Tueur en série cannibale, vous êtes connus pour votre intelligence sans pareil et servez même de sujet d’étude aux services d’investigation. Il vous arrive d’aider vos geôliers mais cette aide peut avoir un prix, et vous aimez quand les choses dérapent dans ces moments-là.

 

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